Après la présentation de Christine Pominville, propriétaire de l’entreprise CommunicAction, demandant au conseil de revoir la décision qu’il avait prise en 2023 au sujet du changement du réseau 911 vers celui de nouvelle génération, le conseil s’est réuni pour reparler du sujet.
Malgré une pétition comptant plus de 1000 signatures, le conseil a réitéré sa décision. C’est donc l’embauche d’un centre de réponse aux appels d’urgence détenant le soutien d’un centre d’appels de la sécurité publique et équipé pour fournir des services via les nouvelles générations qui a été maintenue.
Le conseil croit que cette décision reste la plus favorable pour la Ville et les contribuables. Les inquiétudes à propos d’un service en français de qualité resteront dans l’air jusqu’à ce que le changement soit fait. Toutefois, l’évolution du système permettra aux opérateurs de voir en direct la localisation du téléphone de la personne qui appelle et d’envoyer les directives automatiquement aux premiers répondants. Le conseiller Picard ajoute : « C’est important de comprendre que pour l’investissement d’une somme de 500 000 $ envers l’achat d’équipement, c’est un gros montant à débourser pour une communauté afin d’aider une entreprise privée. Ça serait comme aider une entreprise de construction à financer la machinerie nécessaire pour refaire les rues. »
Le gouvernement de l’Ontario abaisse les couts de l’électricité pour les familles et les petites entreprises en augmentant la remise de l’Ontario pour l’électricité (ROE) de 11,7 % à 19,3 %. Selon le communiqué de presse, cette politique réduit la facture d’électricité d’un ménage typique de 26 $ par mois ou 312 $ par an. En octobre de chaque année, le gouvernement ajuste son programme l’Ontario pour l’électricité afin de protéger les consommateurs contre la variabilité annuelle normale des couts d’énergie. Le gouvernement estime que passer de 11,7 % à 19,3 % de remise fait en sorte que les factures d’électricité restent abordables et prévisibles. Le nouveau pourcentage entrera en vigueur le 1er novembre prochain.
POAFE
Cette année, la province a indiqué un investissement supplémentaire de 50 millions de dollars dans le Programme ontarien d’aide relative aux frais d’électricité (POAFE) pour les familles à faible revenu.
Cette somme additionnelle permettra d’augmenter les seuils de revenus admissibles au programme jusqu’à 35 %. Donc, un ménage de quatre personnes, qui a droit à une aide financière supplémentaire de 40 $ par mois, devrait voir le seuil de revenu maximal admissible passer de 48 000 $ à 65 000 $ par an après impôts. « En plus d’augmenter le soutien du revenu de près de 12 % sur 12 mois pour les personnes handicapées dans le Programme ontarien de soutien aux personnes handicapées, nous continuons de réduire le cout des produits essentiels pour les familles à faible revenu grâce à des programmes comme le POAFE », a affirmé Michael Parsa, ministre des Services à l’enfance et des Services sociaux et communautaires.
La Commission de l’énergie de l’Ontario (CEO), qui gère le POAFE, introduira l’augmentation des seuils de revenu dans ce programme le 1er mars 2024.
Les ménages admissibles au POAFE peuvent recevoir des crédits allant de 35 $ à 75 $ dans le cadre du programme, selon la taille du ménage. Des crédits mensuels plus élevés, allant de 52 $ à 113 $, sont offerts aux clients autochtones ou vivant avec des membres autochtones de leur famille, aux clients qui utilisent le chauffage électrique et aux clients qui utilisent certains appareils médicaux à forte consommation d’électricité.
Le gouvernement de l’Ontario offre un financement pour moderniser les infrastructures de l’Hôpital de Timmins et du district. Une somme de deux- millions de dollars a été injectée pour améliorer la qualité des services de l’Hôpital régional.
L’argent provient du Fonds pour le réaménagement de l’infrastructure du système de santé et aidera à compléter les améliorations et les réparations essentielles à l’infrastructure de Timmins.
Selon le communiqué, le but est de créer un milieu plus sécuritaire et confortable pour les gens et leur famille, pour les interconnecter aux soins et services offerts à l’hôpital. « Ce financement aidera l’Hôpital de Timmins et du district à s’attaquer aux besoins prioritaires en matière d’infrastructure afin qu’il puisse continuer à prodiguer des soins de calibre mondial dans la collectivité », a déclaré Sylvia Jones, vice- première ministre et ministre de la Santé.
Le ministère précise que cette aide financière fait partie de l’investissement de plus de 208 millions de dollars réalisé cette année pour soutenir des améliorations et des réparations essentielles dans 131 hôpitaux et 58 établissements de soins de santé communautaires de la province. L’argent permet de répondre à des besoins urgents en matière de renouvèlement de l’infrastructure, comme des réparations ou des remplacements de toits, de fenêtres, de systèmes de sécurité, d’alarmes d’incendie et de génératrices de secours.
Le gouvernement du Canada investit des millions de dollars dans la formation en santé en français dans le Nord de l’Ontario. L’objectif est d’améliorer l’accès à des services de santé en français, surtout dans les régions rurales et éloignées.
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Ju – IJL – Réseau.Presse – Le Voyageur
L’Université Laurentienne reçoit 7 millions $, l’Université de Hearst reçoit 2 millions $, le Collège Boréal 4 millions $ et le Réseau du mieux-être francophone du Nord de l’Ontario (RMEFNO) 1 million $.
Le ministre fédéral de la Santé, Jean Yves Duclos, était de passage au Collège Boréal de Sudbury pour annoncer la répartition des montants. L’argent provient du Plan d’action pour les langues officielles 2023-2028. « Le programme de santé pour les langues officielles en santé de Santé Canada est conçu pour améliorer l’accès aux soins de santé dans la langue officielle que l’on choisit », dit le ministre Duclos.
Le président du Collège Boréal, Daniel Giroux, souligne que ce financement est essentiel pour maintenir un niveau de services adéquat et essentiel. « Une personne vulnérable dont la santé est défaillante se doit de pouvoir compter sur des services de santé de qualité dans sa langue, peu importe l’endroit où la personne demeure. »
À l’Université Laurentienne, le montant sera géré par le Consortium national de formation en santé CNFS – Volet Laurentienne. Le CNFS appuiera les programmes de formation de santé en français, comme Sciences infirmières, de Service social, l’Orthophonie.
« Présentement, on travaille beaucoup sur le recrutement. On veut aller chercher plus d’étudiants qui vont pouvoir devenir nos futurs professionnels de la santé qui vont pouvoir offrir des services dans les communautés en situation minoritaire en français », explique la gestionnaire du CNFS-Volet Laurentienne, Chanelle Landriault.
Les fonds pourront entre autres servir à des stages pour que les étudiants découvrent les communautés en manque de personnel, précise Mme Landriault.
Le Collège Boréal utilisera les fonds pour ses programmes en santé : hygiénistes dentaires, préposés aux bénéficiaires, technologue en radiation médicale, ambulanciers et infirmières auxiliaires.
« Comme collège en situation minoritaire, les couts sont beaucoup élevés pour développer et maintenir la formation » , dit Daniel Giroux. Sans l’appui financier du gouvernement, il est aussi plus difficile d’offrir des cours et de la formation dans les communautés éloignées, ajoute-t-il.
Le président du RMEFNO, Collin Bourgeois, souligne que le million appuiera ce que l’organisme fait déjà. Le rôle du RMEFNO est entre autres de faire la promotion et de la formation pour que les diverses agences de santé offrent des services en français. « Former, informer et faire une distribution [des services] à parts égales. Chaque région doit avoir un complément de service de santé en français », rappelle M. Bourgeois.
À l’Université de Hearst, l’argent servira surtout à appuyer la formation offerte dans le programme de psychothérapie.
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La députée fédérale de Sudbury, Viviane Lapointe, le ministre fédéral de la Santé Jean Yves Duclos, le député fédéral de Nickel Belt, Marc Serré.
La semaine dernière était présentée la 34e assemblée générale annuelle des Médias de l’épinette noire devant une vingtaine de personnes intéressées à connaitre la santé financière de l’organisme sans but lucratif. Or, du 1er septembre 2021 au 31 aout 2022, l’exercice financier s’est terminé avec un déficit de 250 $.
La dernière année de la radio CINN 91,1 et du journal Le Nord a été en quelque sorte une période d’investissement au niveau des ressources humaines. Nous n’avons pas procédé à l’achat de pièces d’équipement majeures, puisque nous nous préparons à de grands changements à ce niveau dans les deux prochaines années. Cependant, nous avons instauré un REER à contribution partagée et mis sur pied une assurance collective pour les employés.
Devant la pénurie de main-d’œuvre et l’épuisement de l’équipe à former du nouveau personnel, nous tentons d’offrir davantage de bénéfices afin de conserver les éléments en place. Les Médias ne sont pas en mesure de compétitionner avec les plus gros joueurs du marché comme l’Université de Hearst, la Caisse Alliance ou la Ville, mais nous espérons que ces ajouts seront profitables pour l’équipe. Il faut être conscient que le salaire et les avantages sociaux des employés comptent pour les deux tiers du budget annuel d’un million de dollars.
Financièrement parlant, les Médias de l’épinette noire s’en tirent quand même pas si mal. On se doit de garder un budget serré, mais nous sommes capables de respirer. Le compte d’urgence est encore assez garni, advenant un problème sérieux. Cependant, comme toute bonne entreprise, il faut faire preuve de prudence, avec l’inflation et la possible récession économique qui plane sur le Canada.
Ce n’est pas le temps de se mettre dans le pétrin après une deuxième année consécutive avec un déficit, malgré que la dernière s’est terminée avec un manque à gagner de seulement 250 $. Il s’agit d’un bien meilleur résultat comparativement au déficit de 73 935 $ de l’année précédente.
Au niveau du journal, ce n’est pas le Klondike, mais l’équipe réussit à rentabiliser le produit. De toutes les opérations des Médias de l’épinette noire, Le Nord demeure l’élément le plus fragile. Les gouvernements ne placent pratiquement plus de publicité dans les journaux. Les revenus à ce niveau ont baissé de plus de la moitié. On parle de miettes.
Tel que je l’ai mentionné lors de l’AGA, les gouvernements préfèrent placer tous les fonds de la publicité dans Google, Facebook, Instagram, etc. plutôt que dans les médias canadiens. Le Canada dirige son argent directement en Californie et pour contrer les pertes monétaires des médias canadiens, on utilise l’argent des contribuables pour la création de subventions d’urgence. C’est à rien n’y comprendre !
À mon humble avis, c’est du gaspillage de fonds publics et un danger pour la démocratie. Alors que les journaux ferment les uns après les autres et les grands médias restructurent en coupant des centaines d’emplois, sympathie aux 240 employés licenciés par TVA la semaine dernière, j’espère que les partis politiques du Canada apprécieront la couverture médiatique de Facebook et Google lors des prochaines campagnes électorales. Surtout qu’on a appris encore dernièrement que la Chine s’est ingérée dans les médias sociaux canadiens lors de l’élection de 2021 pour favoriser les libéraux.
Pour ajouter l’insulte à l’injure, les statistiques démontrent clairement que les objectifs publicitaires du gouvernement canadien ne sont pas atteints puisqu’ils sont incapables de rejoindre tout le monde. Pensez ce que vous voulez, mais les 60 ans et plus ne se retrouvent pas en majorité sur les médias sociaux et ajoutez à ça les nombreuses régions du Canada n’ayant même pas encore accès à l’Internet haute vitesse.
Équipement
Au cours des deux dernières semaines, la diffusion de la radio CINN 91,1 s’est avérée plus difficile. Le problème a été identifié et une commande a été placée pour obtenir les pièces brisées, fort probablement à cause des multiples flashs et pannes d’électricité gracieuseté d’Hydro One. Une fois de plus, les Médias sont en mesure de réparer ou changer les pièces brisées grâce à la générosité de la population lors des radiothons.
Nous travaillerons dans les prochains mois sur une demande de financement auprès de la Fondation Trillium Ontario pour procéder à la transformation de notre équipement radio. Un jour ou l’autre, nous serons dans l’obligation de passer au numérique. Certains pays ont déjà obligé leurs stations radio à diffuser en numérique. Un tel projet coutera plus d’une centaine de mille dollars. Dans le meilleur des mondes, on espère compléter cette transformation d’ici 2024.
Seulement 234 personnes ont utilisé le système de transport en commun PR Transpo destiné aux résidents de l’Est ontarien depuis juin 2021. Ces chiffres sont alarmants, selon certains élus des Comtés unis de Prescott-Russell (CUPR).
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Charles Fontaine – IJL – Réseau.Presse –Le Droit
« Je pense que c’est clair qu’il faut qu’il y ait des changements, soutient le maire de Russell, Pierre Leroux. En ce moment, on est subventionné pour servir 234 personnes. J’ai de la misère à dépenser pour ça. »
« Les chiffres parlent d’eux-mêmes, ça ne prend pas la tête à Papineau pour comprendre que ça ne marche pas cette affaire-là », renchérit le directeur général des CUPR, Stéphane P. Parisien.
Parcours à perte
Les autobus de PR Transpo ont roulé 2,8 fois plus de kilomètres avec tous leurs sièges vides qu’avec quelqu’un à bord. Le rapport dévoilé jeudi à la réunion des CUPR souligne que les engins ont transporté 0,5 passager par déplacement.
Le service qui roulait au départ sur trajets fixes avec arrêts déterminés est devenu une offre sur demande en juin 2021. Depuis le changement de stratégie, l’achalandage a augmenté quelque peu, mais pas de manière concluante. De fait, 6167 embarquements et 234 usagers uniques ont été enregistrés entre juin 2021 et décembre 2022. La ville de Hawkesbury constitue 36 % de ces embarquements et 44 % des usagers sont des adultes.
Depuis le début, le coût total du projet pilote s’élève à près de 1,2 million de dollars et le service sur demande est 2,3 fois plus coûteux que le service à routes fixes.
Même si le gouvernement de l’Ontario finance la quasi-totalité du projet, cet argent est mal dépensé, estime M. Parisien.
« Même si c’est de l’argent du gouvernement, ce n’est pas de l’argent bien dépensé. Le retour sur l’investissement n’est pas là. On embauche des gens pour 234 personnes », lance le directeur général des CUPR.
Les fonds sont prévus jusqu’en 2025 pour ce projet, mais il se peut que les autobus arrêtent de rouler avant cette date, mentionne le président des CUPR, Normand Riopel.
« C’est dommage, ça aurait été plaisant de voir un service de transport en commun qui fonctionne dans Prescott-Russell, se désole-t-il. C’est un territoire assez large et long. Quand on voit que 0.2 % de la population l’utilise, ça fait cher de la ride. Je pense qu’on va retourner à la table de dessin et demander à l’administration un plan stratégique. Même si on faisait une campagne de publicité énorme et qu’on doublait nos chiffres, ce serait seulement 0,4 % des gens. »
PR Transpo est en interruption temporaire depuis la fin décembre 2022 et devrait reprendre du service le 12 février.
L’Université de Hearst ne cesse d’innover depuis son autonomie, et ce ne sont pas les projets qui manquent. Dans les prochains mois, l’intérieur du bâtiment de Hearst se refera une beauté et sera modernisé pour être en symbiose avec la nouvelle philosophie d’enseignement que l’institution postsecondaire souhaite projeter pour faciliter et mousser le recrutement.
Trois-millions de dollars seront investis pour quelques changements au deuxième étage, mais pour carrément tout refaire le troisième. « Au deuxième étage, on a nos salles de classe qui ont été construites en 1959, ça commence à être un petit peu dépassé. Premièrement, la taille parce qu’on a de petites classes et on a une grande salle qui avait été rénovée dans les années 2000, donc cette classe-là est parfaite pour le modèle qu’on a », indique le recteur, Luc Bussières.
C’est avec un pincement au coeur que la décision d’abolir la résidence étudiante du dernier étage a été prise. « On détruit complètement le troisième étage et on va construire quatre ou cinq classes modernes avec des murs sur lesquels ont écrit, des téléviseurs, l’éclairage, le son, tout va être ultra moderne avec des possibilités d’avoir des gens qui sont en vidéoconférence en même temps. Mais, on avait un dilemme parce qu’on a vraiment un problème de logement pour nos étudiants », avoue le recteur.
La résidence actuelle peut accueillir 16 personnes. Si l’Université a été dans l’obligation de changer la structure éducationnelle pour en arriver aux cours en bloc, c’est parce qu’il n’y avait plus assez d’étudiants pour justifier la continuité. Aujourd’hui, ce n’est plus une question d’inscription, mais de logement pour accueillir tous ses étudiants. « Un jour, on pourra accueillir plus d’étudiants, mais non, parce qu’on n’aura pas de place pour les loger. »
Pour la construction de résidences, il n’y a aucune possibilité de financement provincial, ni pour rénover, ni pour construire. La direction tentera de trouver un partenaire au privé pour contrer ce problème.
Cet investissement offrira des espaces au gout du jour. L’Université de Hearst se positionne pour être vraiment une alternative à l’éducation traditionnelle. « Notre nouvelle philosophie en enseignement, c’est très interactif. Donc, on ne veut pas nécessairement d’un prof en avant avec 25 élèves qui écoutent silencieusement. On fait souvent travailler les gens en équipe », ajoute M. Bussières.
Vous désirez vous lancer dans l’investissement immobilier ? Pour atteindre vos objectifs, il est essentiel que vous mettiez sur pied une stratégie efficace. Voici quatre questions à vous poser pour vous guider !
Quelles sont vos connaissances en immobilier ?
Ciblez les connaissances qui vous font défaut et complétez-les au moyen de recherches, de collaborateurs experts de leur domaine (courtiers, avocats, notaires, inspecteurs, etc.) et de formations appropriées.
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Connaître votre niveau de stress relatif à l’argent et à la gestion des problèmes, entre autres, vous permettra d’établir plus aisément vos limites et les tâches que vous réaliserez vous-même.
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Parmi ceux-ci se retrouvent les tendances, l’inflation, les taux d’intérêt, les facilités de crédit, le temps requis pour vendre et les impacts de la mondialisation. Au besoin, suivez des formations pour mieux comprendre les rouages de l’économie.
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