Si vous avez un mode de vie actif, que vous aimez être à l’extérieur et que vous vous souciez de l’environnement, le métier d’arboriculteur ou d’arboricultrice pourrait être fait pour vous! Ces experts en arbres travaillent pour des entreprises d’aménagement paysager privées ou des agences qui gèrent des forêts et des espaces verts publics.
Fonctions
En tant que spécialiste des arbres, vous pouvez effectuer des recherches sur le sol et le climat locaux afin d’identifier les végétaux les mieux adaptés à ces conditions. Vous pouvez également inspecter et traiter les arbres et le sol pour détecter les maladies, les parasites et les schémas de croissance malsains. Par ailleurs, il n’est pas rare de devoir retirer des arbres malades ou tombés.
Conditions de travail
Les arboriculteurs et arboricultrices travaillent avec des outils manuels et de la machinerie lourde, et fournissent parfois des services d’urgence après une tempête ou lorsqu’un arbre présente un risque pour la sécurité. Les autres aspects du métier comprennent la consultation des clients, la tenue à jour des documents, le traitement des échantillons de laboratoire et la recherche. Cette carrière aux multiples facettes exige de posséder une certaine force physique ainsi que d’être habile de ses mains, à l’aise dans les hauteurs et capable de bien travailler en équipe.
Formation
Le parcours scolaire implique généralement un diplôme technique qui comprend une formation en soins des arbres et des plantes, en évaluation des risques, en conduite de machinerie lourde et en santé et sécurité du travail. Des cours de botanique, de foresterie, de biologie, d’études environnementales, d’écologie, d’horticulture et de pédologie sont aussi tout indiqués.
Renseignez-vous sur les différents programmes de formation offerts dans votre région pour dénicher celui qui vous mènera vers une passionnante carrière en arboriculture !
Ce sera la deuxième édition du défilé de mode organisé par Grace Koffi de Kege Boutique, mais cette fois-ci la formule sera quelque peu différente. Sous le thème Les femmes au centre, l’évènement dirigera les projecteurs vers des entrepreneures locales. L’évènement se déroulera dans le cadre de la Journée internationale des femmes, le mercredi 8 mars prochain, et ce n’est pas par hasard. Selon l’instigatrice de la soirée, encore en 2023, il s’agit d’une journée très importante. « La femme donne la vie, on a toujours cette mentalité de se dire que la femme est un petit peu inférieure à l’homme alors que ce n’est pas du tout cela. » La soirée mettra en lumière les femmes entrepreneures de notre région grâce à l’animatrice de la soirée, Ellie Mc Innis. Ces femmes seront amenées à parler de leur entreprise pour permettre aux plus jeunes de voir que c’est possible de se lancer en affaires. C’est avec l’aide de Mireille Gosselin, propriétaire de la Preloved Shop, que Grace a entrepris des démarches afin de mettre son évènement sur pied. « Elle m’a donné une liste de gens à contacter : certaines m’ont dit oui, d’autres m’ont dit non par manque de temps et d’autres, bien, j’attends toujours un retour d’appel de leur part », nous dit-elle. La promotion se fait principalement sur les pages Facebook des participantes. Pour le moment, le nombre de conférencières est de quatre, mais d’autres pourront s’ajouter d’ici là. Chacune aura la chance de présenter son parcours à sa manière et plusieurs produits des différentes entrepreneures seront disponibles sur place pour consultation. Le cout du billet est de 25 $ pour la soirée qui se déroulera au gymnase de l’Université de Hearst, comprenant un souper.
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La Communauté du Trille blanc, un projet de « Village » francophone pour aînés dans la région de York, au Nord de Toronto, vient d’embaucher une directrice générale: Lori-Ann Seward.
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François Bergeron – IJL – Réseau.Presse – l-express.ca
« Il s’agit d’un moment historique pour la Communauté du Trille blanc », souligne le président Jean Bouchard, l’ancien directeur de l’école secondaire catholique Renaissance à Aurora.
« Mme Seward possède toutes les qualités que nous recherchions: son engagement envers le bien de la communauté, son sens accru des affaires, et ses qualités innées pour mener à bien les campagnes de financement. »
Le Conseil d’administration était à la recherche de sa direction générale depuis un an.
Un « Village » francophone
Créé en 2019, l’organisme sans but lucratif a tenu sa troisième assemblée générale annuelle ce samedi 28 janvier à Newmarket. Quelques maires des municipalités de la grande région de York, des élus à Queen’s Park et à la table de conseils scolaires, ainsi que des amis issus de la communauté francophone et francophile y participaient.
Le groupe veut construire « un milieu d’habitations et le développement de services en français destinés à une population âgée et accueillant des personnes francophones et francophiles de tous âges afin de favoriser les échanges intergénérationnels ».
Ce projet de 220 millions $ comporterait trois volets, à réaliser simultanément ou par étapes:
Un foyer de soins de longue durée.
Une résidence pour personnes âgées autonomes avec des services communautaires et des activités culturelles, inspiré du modèle de CAH à Toronto.
Des logements abordables pour tous.
L’ensemble desservirait directement environ 400 personnes. Il comprendrait aussi des bureaux et des commerces, une garderie, des services de santé, des espaces de réunion, de loisirs et de restauration.
Idéalement, il serait situé à proximité des espaces verts de la Moraine.
Financement tous azimuts
L’horizon 2025 pour l’inauguration de ce « Village » est « ambitieux », reconnaît la vice-présidente Carole Drouin. Avant de sélectionner son terrain et de l’acheter (trois endroits sont considérés), le projet a besoin de financement fédéral, provincial, local et privé.
« J’aurais aimé vous annoncer aujourd’hui que nous avions notre terrain », a dit Jean Bouchard à l’AGA. « Mais il est encore prématuré de le faire malgré les avancées importantes de nos discussions avec les municipalités et le gouvernement de l’Ontario. »
Déjà, le couple Carole et Steve Mirkopoulos a offert un prêt sans intérêts de 10 millions $. Un autre donateur, qui préfère rester anonyme, a fait un don de 150 000 $ sur trois ans.
Lors de l’AGA, un prix de reconnaissance du Trille blanc a été remis au couple Betty et Paul Durocher, qui a siégé au premier comité de travail de la Communauté du Trille blanc, et qui continue de participer au projet.
« Montrez-moi où je dois signer ? »
L’équipe a l’appui de l’AFRY (Association des francophones de la région de York). Elle occupe d’ailleurs un petit bureau dans les locaux de l’AFRY.
La FARFO (Fédération des aînés et retraités francophones de l’Ontario) et d’autres agences locales et provinciales suivent le projet avec intérêt. « Je suis prêt à m’inscrire à la liste d’attente pour habiter au Trille blanc », a lancé à l’AGA le président de la FARFO, Jean-Rock Boutin. « Montrez-moi où je dois apposer ma signature ! »
L’ancien président de l’AFO (Assemblée de la francophonie de l’Ontario), Carol Jolin, qui habite pourtant dans l’Est ontarien, s’est joint au CA pour participer aux efforts de financement. « Il agira à titre d’interlocuteur principal pour notre Comité des relations politiques et gouvernementales », a précisé Jean Bouchard.
« En plus d’améliorer l’accès aux soins de longue durée en français, je constate que ce projet vise à tisser des liens à plusieurs niveaux », a remarqué la député provinciale Dawn Gallagher Murphy.
Pour le maire d’Aurora, Tom Mrakas, « les Franco-Ontariens ont apporté des contributions économiques, culturelles et caritatives importantes et durables à Aurora, à la région de York et à toute la province ».
Lori-Ann Seward
La nouvelle DG Lori-Ann Seward est originaire de Kapuskasing, dans le Nord de l’Ontario. Diplômée en Administration des affaires de l’Université Laurentienne, elle possède aussi un certificat d’études supérieures en Collecte de fonds et gestion des ressources.
Elle a notamment été directrice des programmes résidentiels pour femmes au sein de Cornerstone to Recovery (Newmarket-Barrie), gestionnaire des relations au sein de Centraide de Simcoe Muskoka, cheffe de projet social au sein de la Clé d’la Baie (Simcoe), dont elle a été présidente du Conseil d’administration de 2010 à 2019.
Et « son parcours de bénévolat est tout aussi impressionnant que son parcours professionnel ».
Ses nouvelles priorités comprennent notamment l’embauche de personnel pour le bureau de la Communauté du Trille blanc, l’achat d’un terrain, la mise en oeuvre d’un Plan de financement et la réalisation d’un Plan d’affaires visant la création du « Village » pour les personnes âgées francophones dans la région de York.
« Je suis heureuse de me mettre au service de ma communauté francophone dans ce rôle et plus particulièrement de m’investir au mieux-être des personnes âgées, qui méritent la meilleure qualité de vie possible », commente-t-elle.
« C’est sous sa direction que notre rêve deviendra réalité », ajoute Jean Bouchard. Son embauche est « un pas de géant dans la réalisation de notre projet ».
Fabien Hébert a accédé au poste de président de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario le mois dernier. Sera-t-il bénéfique pour la région d’avoir le président sous notre main, ne serait-ce que pour la visibilité et la reconnaissance ? La population de la route 11 n’est pas très active au sein de l’AFO puisque plusieurs citoyens tiennent la francophonie pour acquise.
Le journal Le Nord a demandé au principal intéressé ce que pourraient être les bénéfices pour la région d’avoir le président dans notre communauté ? « Je ne pense pas qu’il y ait des avantages marqués. Excepté de faire connaitre la région au reste de la province. Juste le fait que je vienne du Nord de l’Ontario ça devrait donner un petit peu plus de visibilité », pense-t-il.
Aux yeux du nouveau président et de plusieurs francophiles, la province compte cinq grands bassins de francophones distincts : l’Est à environ 42 %, le Centre à 30 %, le Sud-Ouest à 5 %, le Nord-Est avec 22 %, et le Nord-Ouest avec un faible 1 %. Dans la région du Nord-Est, la population francophone de la route 11 ne semble pas s’identifier aux francophones qui vivent plus au sud, soit ceux des secteurs de Sudbury et de North Bay.
Lorsque vient le temps de se réunir, les francophones de la province ont démontré qu’ils étaient capables de se regrouper et monter aux barricades ; on n’a qu’à penser au jeudi noir avec les compressions de Doug Ford ou encore à SOS Montfort. Mais malheureusement, ils sont capables du contraire dans bien d’autres dossiers en tirant la serviette chacun de leur côté.
Voilà un défi auquel le nouveau président devra faire face. « Accéder à la présidence de l’AFO pour une personne qui ne vient pas des grandes concentrations de francophones, ça va donner une différente perspective. Ça va donner un différent son de cloche aux interventions. Et, peut-être même être capable d’ouvrir les yeux aux gens de ces grands centres sur la différence des réalités », souhaite-t-il.
Selon le nouveau président, la région du Nord était assurément la moins bien entendue, mais jusqu’à quel point la population et les organismes du Nord de l’Ontario, et surtout de la route 11, connaissent et s’intéressent à l’AFO. « C’est difficile pour moi de te répondre à ce moment-ci. Repose-moi la question dans un an et j’aurai probablement un meilleur portrait de la situation. Je vais avoir la chance d’aller sur le terrain, parler avec les gens et vraiment être capable d’évaluer ça. »
À l’AFO, un président est élu pour une période de deux ans et peut accomplir trois mandats. Si Fabien Hébert est le premier président à siéger à partir de Hearst, il n’est pas le premier Hearstéen à remplir ce poste puisque Mariette Carrier-Fraser a été la première présidente de l’Assemblée.
Avec l’appui des organismes membres de l’AFO, M. Hébert est prêt pour la mission. « Pour bien mener à terme un poste comme la présidence de l’AFO, je pense qu’il faut penser à plus long terme. Deux ans, ça va très vite et ça me donne l’impression que ça prend un an avant de bien cerner et saisir les dossiers. Donc, je veux au moins être là pour deux termes et si j’ai l’appui je vais faire six ans, certain. »
Conservation de la nature Canada (CNC) lance une campagne publique de collecte de fonds dans le but de mettre sur pied un projet de conservation privé, situé à l’ouest et au sud de Hearst.
Le projet nommé Terres boréales a pour but de protéger près de 1 500 kilomètres carrés de foret boréal, de cours d’eau et de milieux humides du nord de l’Ontario. Il s’agirait du « plus vaste projet de conservation de terres privées de l’histoire du Canada » qui permettrait de protéger des centaines d’espèces abritant la région, dont le caribou des bois.
Kristyn Ferguson, directrice de programme pour la région de l’Ontario, dit que la zone de conservation n’aura pas d’impact négatif sur l’économie et, au contraire, pourrait créer des opportunités supplémentaires dans la région, notamment dans le domaine de l’écotourisme.
Le territoire en question est une ancienne propriété de l’entreprise forestière Domtar Inc. ayant été transféré à CNC à un prix réduit par rapport à la valeur marchande estimée des terres.
L’organisme doit amasser 13 millions de dollars supplémentaires par l’entremise de sa campagne de collecte de fonds pour atteindre son but, soit de 46 millions de dollars.
L’annonce a été dévoilée virtuellement le 22 avril dans le cadre des célébrations du Jour de la Terre.
Matthew Pronovost, enseignant de Smooth Rock Falls, résident et pompier volontaire à Moonbeam, a récemment été nommé candidat du Parti libéral dans la circonscription de Mushkegowuk-Baie James pour les prochaines élections provinciales.
Auparavant, M. Pronovost a été impliqué dans la Fédération de la jeunesse franco-ontarienne (FESFO) en animant des séminaires dans les écoles du Nord de l’Ontario.
Le candidat a partagé son intention de défendre les services en français en Ontario et souhaite l’expansion de l’éducation en français à travers la province. Jusqu’à présent, il affrontera aux élections Guy Bourgouin du Nouveau Parti démocratique et Éric Côté du Parti progressiste-conservateur.