Pendant des décennies, Armando Prazeres était très impliqué dans tout ce qui touche le soccer à Hearst. Depuis 1976, il a joué avec d’autres adultes, entrainé des plus jeunes, organisé l’association de soccer mineur.
Lui et sa femme déménagent pour de bon afin d’aller s’installer plus près de leurs enfants dans l’est de la province. Armando et Isabel ont donc décidé de donner tous les ballons qui leur restaient aux deux équipes scolaires locales des Nordiks.
Vous adorez vous balader à vélo pour le plaisir ou pour privilégier le transport actif? Pour que tout aille « comme sur des roulettes » lors de chaque sortie, misez sur ces bons comportements!
1.SOYEZ VISIBLE
À vélo, vous êtes vulnérable face aux véhicules — et vous êtes un danger pour les piétons! Il est donc indispensable de vous assurer d’être visible en tout temps. Plusieurs réflecteurs et lumières sont d’ailleurs obligatoires :
Les réflecteurs avant (blanc) et arrière (rouge);
Le réflecteur dans la roue avant (jaune ou blanc) ou les bandes réfléchissantes sur la fourche, la jante ou le pneu;
Le réflecteur dans la roue arrière (rouge ou blanc) ou les bandes réfléchissantes sur les haubans, la jante ou le pneu;
Les réflecteurs sur les pédales (jaunes) ou les bandes réfléchissantes autour des chevilles ou sur les souliers.
De plus, après la tombée de la nuit, le phare blanc à l’avant et la lumière rouge à l’arrière sont requis.
2. RESPECTEZ LA SIGNALISATION
Les feux rouges et les arrêts obligatoires, c’est pour tout le monde! Ainsi, aux intersections, vous devez tenir compte de la signalisation à l’intention des automobilistes et respecter les priorités (ex. : le premier à faire un arrêt complet a la priorité). Toutefois, vous pouvez normalement utiliser la phase pour piétons pour traverser, mais seulement après avoir effectué un arrêt et cédé la priorité à ceux-ci.
À noter : une signalisation s’adressant spécifiquement aux cyclistes est parfois présente (ex. : interdiction de traverser durant la phase piétonne). Dans ce cas, c’est bien entendu celle-ci qui prévaut.
Par ailleurs, d’autres panneaux peuvent donner des indications aux cyclistes : interdiction de dépasser, obligation de descendre du vélo, accès interdit, etc. Assurez-vous de savoir les reconnaître — et de les respecter!
3.ADAPTEZ VOTRE VITESSE
Une trop grande vitesse réduit le champ de vision et augmente à la fois la distance de freinage, les risques de dérapage et la violence des impacts. Rouler à une vitesse raisonnable de 15 ou 20 km/h vous permet d’anticiper les dangers et d’avoir le temps de réagir en conséquence.
Qui plus est, si vous partagez la voie avec des piétons, rouler à basse vitesse et signaler votre présence (avec une sonnette ou votre voix, par exemple) lorsque vous approchez par-derrière est essentiel pour assurer la sécurité de tous.
4.SUIVEZ LE SENS DE LA CIRCULATION
À moins que la signalisation n’autorise le contraire, vous devez toujours rouler dans le sens de la circulation automobile, et ce, dans la voie la plus à droite. Pédalez en ligne droite et évitez de zigzaguer entre les voitures stationnées ou de vous placer entre un poids lourd et le trottoir. De plus, restez derrière tout véhicule qui manifeste son intention de tourner à droite.
Sur les chaussées désignées et les bandes cyclables unidirectionnelles, fiez-vous simplement aux flèches au sol pour circuler dans le bon sens.
5.SIGNALEZ VOS INTENTIONS
Avant toute manœuvre (virage, changement de voie, arrêt, etc.), vérifiez que celle-ci peut être réalisée sans danger et signalez votre intention. Veillez également à établir un contact visuel avec les autres usagers de la route pour franchir les intersections en toute sécurité.
Le pickleball est un sport qui gagne en popularité parmi les personnes de tous âges, mais plus particulièrement chez les aînés. À go, explorons les raisons de la montée en flèche de cette activité au sein de cette population!
UN ENGOUEMENT GRANDISSANT
Le pickleball a capté l’attention des personnes de 50 ans et plus à la recherche d’une activité physique à la fois divertissante et accessible. Avec ses règles simples et son faible impact sur les articulations, ce sport s’est imposé comme une option attrayante pour quiconque souhaite demeurer en santé et côtoyer des gens. Depuis, les ligues et associations poussent comme des champignons!
DES BIENFAITS PHYSIQUES ET SOCIAUX
Ce sport vient avec une gamme de bienfaits physiques adaptés aux besoins des gens plus matures. Les mouvements stimulent la coordination, la flexibilité et l’endurance, contribuant ainsi à une meilleure santé générale. De plus, la nature conviviale du jeu favorise la création de liens sociaux solides, renforçant le sentiment d’appartenance à une communauté active.
Bon à savoir : le pickleball n’est pas réservé aux personnes vivant dans les grandes villes. Ainsi, ce sport intéresse autant les aînés des milieux urbains que ceux des communautés rurales.
Vous cherchez une nouvelle manière de rester en forme et de faire de belles rencontres? Voyez si des terrains de pickleball sont accessibles dans votre région et succombez à votre tour aux charmes de cette activité où le plaisir est omniprésent!
Mélange de tennis, de ping-pong et de badminton, le pickleball se joue avec une raquette et une balle de plastique trouée.
Andréanne a toujours aimé les sports, elle a fait partie de plusieurs équipes ne limitant pas ses talents à une seule discipline. À l’école secondaire, elle a démontré de l’intérêt dans son cours d’anatomie, ce qui l’a poussée à entreprendre des études universitaires en kinésiologie. « J’aimerais beaucoup appliquer ce que j’apprends en faisant mon métier dans des équipes sportives. J’aimerais soit devenir chiro ou kinésiologue. »
La kinésiologie, c’est un domaine dans lequel œuvrent autant de femmes que d’hommes. Ses études portent sur l’anatomie du corps humain, mais aussi sur la biomécanique : comment le corps fonctionne quand on bouge et comment ça affecte notre santé. Pour ce faire, les étudiants pratiquent sur des personnes décédées, dans des laboratoires de cadavres, dès la première année. « C’est un peu bizarre au début, mais en même temps c’est facile de se dire que ce ne sont pas de vraies personnes puisque tout est ouvert et nous étudions seulement les muscles et les os. »
Ce que la jeune étudiante aime de son programme, c’est entre autres la variété d’opportunités qui se présentent, tant en science qu’en thérapie sportive. Une fois les cours de base terminés, les étudiants choisissent dans quel domaine ils veulent se spécialiser. Andréanne a choisi de suivre une session l’an prochain en Grèce, dans un établissement où ses cours seront reconnus au Canada. Cette opportunité d’aller vivre quatre mois au chaud, dans ce pays méditerranéen, est une expérience qu’elle ne pouvait pas laisser passer. Son université fournit aux étudiants une liste de pays disponibles, où il est permis d’aller étudier. « Sur le site, tu peux explorer les programmes et les couts, pour ensuite choisir où tu aimerais aller et si c’est possible dans ton programme. Il ne s’agit pas d’un échange d’étudiants, mais plutôt que je m’en vais là-bas sans que quelqu’un vienne ici. » La gradation pour ce semestre ne sera pas basée sur des notes, ce qui va lui permettre de focaliser sur son voyage.
C’est avec l’équipe sportive féminine des Warriors de Waterloo que la jeune femme pratique les connaissances acquises à titre d’étudiante thérapeute sportive. « Pour notre cours, nous avons le choix de travailler avec n’importe quelle équipe sportive de l’Université de Waterloo, et le hockey féminin était mon premier choix. Je crois qu’en venant de Hearst, nous avons le hockey dans le sang même si on ne joue pas, l’intérêt est là! » L’équipe a du succès cette année, puisqu’elle s’est classée pour le championnat national qui aura lieu en Saskatchewan. Au sein de l’équipe, le rôle d’Andréanne implique qu’elle soit à toutes les pratiques et les parties, et qu’elle travaille sous la supervision d’un mentor qui vérifie ses techniques.
Son poste comporte aussi la responsabilité de veiller à ce que si une blessure survient, que l’athlète soit prise en charge et reçoive les soins appropriés. « C’est aussi important de travailler avec les joueuses dans la réhabilitation après des blessures : on va travailler avec les thérapeutes sportives, on fait des exercices, on fait des massages, tout pour s’assurer que nos athlètes soient prêtes à jouer », explique Andréanne.
Pour ce qui est de son avenir professionnel, Andréanne dit que la fonction qu’elle occupe présentement dans une équipe sportive, en travaillant avec des athlètes, influence beaucoup l’orientation de sa carrière.
La Fondation Trillium de l’Ontario offre des subventions pour appuyer les projets d’amélioration de bâtiments et d’espaces communautaires. Dans le passé, la Municipalité de Mattice-Val Côté avait sollicité cette subvention afin de l’aider à financer des projets comme le parc d’eau, installé l’été dernier.
Les fonds doivent être réservés uniquement à la construction de quelque chose de nouveau, donc impossible de financer des rénovations pour l’aréna. La directrice générale, Guylaine Coulombe a demandé aux élus s’ils étaient toujours en faveur de la construction d’un terrain de basketball près de l’aréna. Ils n’ont pas pris de décision finale et Mme Coulombe a mentionné qu’ils pouvaient soumettre une autre idée avant la date limite du 6 mars 2024.
Pour plusieurs personnes, « lunettes de soleil » rime avec « été » et, pour cette raison, elles n’en portent presque jamais pendant la saison froide. Vous êtes adepte de sports d’hiver comme le ski alpin, le ski de fond, la raquette ou le patin ? Dans ce cas, vous devriez absolument investir dans l’achat d’une paire de lunettes avec protection anti-UV. Voici pourquoi !
Quels sont les effets néfastes des rayons du soleil sur la santé oculaire ?
Lorsque l’astre du jour brille dans un décor enneigé, ses impacts sur vos yeux se font rapidement sentir. Dans les 6 à 24 heures suivant l’exposition, vous pourriez éprouver ces symptômes :
Picotement ;
Rougeur ;
Douleur ;
Larmoiement ;
Mal de tête ;
Vision floue ;
Intolérance à la lumière.
Ces signes sont associés à une condition appelée cécité (ou ophtalmie) des neiges. On pourrait la comparer à un coup de soleil dans l’œil. Si l’exposition sans protection est prolongée, ces symptômes pourraient devenir chroniques et s’avérer très difficiles à traiter !
Comment choisir des lunettes de soleil de qualité pour pratiquer des sports d’hiver ?
D’emblée, n’achetez pas des lunettes fumées n’importe où ! Pour dénicher des produits robustes offrant une haute protection contre les rayons UV, préférez les commerces spécialisés (ex. : clinique d’optométrie, magasin d’équipements de plein air). Optez idéalement pour des verres polarisés, car ils absorbent plus efficacement les rayons provenant de surfaces réfléchissantes comme la neige. Enfin, essayez plusieurs paires pour trouver celle qui convient le mieux à votre morphologie.
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La neige réfléchit 85 % des rayons UV. En comparaison, l’eau n’en réfléchit que 5 à 10 %. De plus, chaque palier de 1000 mètres d’altitude fait augmenter de 10 % la proportion de rayons UV — à retenir si vous fréquentez assidûment les stations de ski !
Les protégés de l’entraineur-chef Alain Rioux recevaient la visite des Eskimos du Valu-Mart d’Iroquois Falls dimanche dernier et, fait à noter, ces derniers étaient très affamés. Rappelons qu’avant la pause dès Fêtes, les Lumber Kings avaient défait les Eskimos à trois reprises sur leur patinoire.
Les Eskimos avaient donc soif de revanche et c’est exactement ce qu’ils ont fait lors du premier de deux matchs disputés au Centre récréatif Claude-Larose.
Les Eskimos ont pris les devants 2 à 1 en première. Les Lumber Kings ont par la suite marqué à deux reprises en deuxième avant qu’Iroquois Falls ne fasse 3 à 3 avant la fin de l’engagement.
Les visiteurs ont repris les commandes du match à mi-chemin en troisième période, mais Hailey Losier-Paradis a à nouveau nivelé la marque avec son deuxième filet alors qu’il restait moins de quatre minutes à faire dans la partie. Le HLK allait toutefois accorder le but vainqueur 16 secondes plus tard.
Outre Losier-Paradis, Maxe Gosselin a également marqué deux fois, l’autre but appartenant à Bentley Girard.
Dans le second match, le Rouge et Noir n’allait pas s’en laisser imposer ainsi dans son domicile, l’emportant par la marque de 6 à 3. Benjamin Boissonneault a réussi un triplé tandis que ses coéquipiers Maxe Gosselin, Samuel Lemieux et Félix Breton ont complété le pointage.
Le HLK présente maintenant un dossier six victoires, cinq défaites et un match nul en saison régulière.
L’équipe des Lumber Kings de Hearst des moins de 18 ans était en action au Centre récréatif Claude-Larose la fin de semaine dernière. Le moins que l’on puisse dire c’est que l’équipe de l’entraineur-chef Félix Morissette a joué du hockey inspiré, remportant quatre matchs en autant de sorties.
Samedi, le Rouge et Noir accueillait les Stingers d’Iroquois Falls pour deux rencontres.
Dans le premier duel, Hearst a pris les devants 2 à 0 après 20 minutes de jeu grâce aux buts de Danick Dubé et Zackary Lajeunesse. Les Stingers ont toutefois marqué à trois reprises sans riposte lors du deuxième 20. Les adversaires en ont ajouté un autre tôt en troisième période pour prendre les devants 4 à 2.
Sébastien Gagnon a tout d’abord réduit l’écart à un but lors d’un avantage numérique à mi-chemin du dernier engagement. Iroquois Falls a repris une priorité de deux buts quelques secondes plus tard. C’est à ce moment que le HLK a choisi d’appuyer sur l’accélérateur ! Le reste de la période a été l’affaire des Hearstéens. Zachary Mignault a porté la marque 4 à 5 avec son 10e but de la saison alors qu’il ne restait que cinq minutes au tableau indicateur. Robin Campeau a ensuite choisi le moment opportun pour inscrire son premier de la saison en nivelant la marque à 55 secondes restant au match.
Zachary Mignault est revenu à la charge en temps supplémentaire alors qu’il s’est amené seul devant le portier des Stingers et l’a déjoué habilement pour enfiler son 11e but.
Hugo Lecours a mérité la victoire devant le filet des Lumber Kings. Dans le second match, le HLK n’a jamais été importuné, l’emportant aisément par la marque de 8 à 3. Samuel Veilleux et Sébastien Gagnon ont inscrit deux filets chacun. Zackary Lajeunesse, Zachary Mignault, Robin Campeau et Samuel Carrier ont complété la marque.
Phillip Vermette défendait la cage pour l’équipe vainqueure.
Dimanche, du côté de Timmins pour y affronte l’École publique Schumacher, le HLK a de nouveau remporté ses deux joutes.
Il a encore fallu une prolongation pour déterminer un gagnant lors du premier duel. Jacob Picard a inscrit un tour du chapeau, dont celui en prolongation, et Zackary Lajeunesse a complété le pointage pour le Rouge et Noir. Sébastien Gagnon a récolté trois mentions d’aide et Phillip Vermette était devant la cage des gagnants.
Dans le second match, le HLK a gagné par blanchissage, 3 à 0. Le blanchissage va à la fiche d’Hugo Lecours, tandis que Zackary Lajeunesse, Samuel Carrier et Robin Campeau se sont occupés de l’offensive dans ce match.
Lorsque Guy Morin a accepté de participer à une émission de radio pour parler de sport il y a plusieurs années, il ne se doutait pas qu’il aurait un jour enregistré 200 épisodes de sa propre émission ! C’est sa passion du hockey qui lui sert de carburant et avec le temps il a développé un intérêt envers tous les sports. Son objectif depuis le début est d’être une plateforme d’information et de discussion au sujet de ce qui se passe dans sa communauté.
La liste de personnes qui ont déjà été invitées à l’émission Le Fanatique est impressionnante. Des vedettes sportives qui viennent discuter sur les ondes d’une radio communautaire francophone du Nord de l’Ontario, ça peut surprendre. Pour développer ce réseau de contacts, Guy a effectué des recherches, passé des appels, écrit des courriels et même contacté des gens sur X (Twitter). « Il y a des gens qui ont accepté, d’autres étaient plus réticents. J’ai envoyé des messages à M. Réjean Houle des anciens joueurs du Canadien et c’est lui qui m’a refilé plusieurs adresses courriel de joueurs. Les joueurs étaient ensuite libres d’accepter ou de refuser mon invitation », explique M. Morin.
Au total, il estime le nombre d’invités à près de 1000 personnes. Pour préparer son émission, il doit rester à l’affut des nouvelles sportives en général, mais aussi de celles de Hearst. Il passe deux heures en studio, il met au moins deux heures dans la préparation, parfois plus, parfois moins. Il monte son émission en tenant compte du temps alloué à chaque invité, des questions qu’il va leur poser, etc. « C’est beaucoup de planification ; parfois quelqu’un m’appelle pour dire qu’il a un empêchement de dernière minute et d’autres fois c’est nous qui manquons de temps », explique-t-il. Pour avoir une plus grande variété dans sa sélection d’invités, l’animateur invite les auditeurs à l’en informer quand une personne de Hearst pratique un sport de haut calibre. « La majorité de mes invités sont axés sur le local, comme Guy Lozier, les entraineurs de différentes équipes, les membres du hockey mineur, les joueurs des Lumberjacks. Mais on essaye de varier un peu. Quelqu’un m’a dit un jour qu’il n’y a pas juste le hockey dans la vie, et c’est vrai ! » Au fil du temps, le Fanatique a réussi à discuter à propos de plusieurs sports avec ses invités, il suffit d’avoir de bons contacts. « Comme le baseball, je n’ai plus trop de bons contacts, auparavant il y avait Mark Griffin, mais il a décidé de se retirer. »
L’émission a évolué depuis sa mise en ondes. Au départ, il voulait couvrir l’actualité sportive locale en ayant une ou deux vedettes de temps à autre. Maintenant, il peut être fier des invités qui sont passés au Fanatique. « Je suis un maniaque des Canadiens, donc au départ c’étaient surtout des anciens de cette équipe. Ensuite, quand je vois une controverse dans les bulletins de nouvelles de sports, j’effectue des recherches pour essayer de parler de ce sujet avec mes invités. Je suis entré en contact avec Theoren Fleury et quelqu’un m’a donné le courriel d’Eric Lindros et je lui ai demandé si ça lui tentait ! »
Guy Morin se passionne pour les sports et le bénévolat depuis longtemps. Il s’est impliqué dans l’organisation d’évènements sportifs et c’est grâce à l’un de ces tournois de balle qu’il a rencontré Stéphane Richer. Depuis ce jour, les deux hommes communiquent ensemble fréquemment et une belle amitié s’est développée. « J’ai été quelques fois avec lui aux tournois de golf des anciens joueurs du Canadien. J’ai rencontré Frank Mahovlich, Dickie Moore, Jacques Demers et plusieurs anciens joueurs. C’est vraiment une opportunité pour moi de connaitre Stéphane, il m’a aidé beaucoup avec mon émission. »
Le Fanatique a même sa propre marchandise. Guy dit avoir envoyé des articles promotionnels en Nouvelle-Zélande, au Colorado, au Michigan : ses auditeurs proviennent vraiment de partout. Grâce au site Web de CINN, les gens peuvent l’écouter en direct ou sous forme de podcast.
Pourvu que la passion y soit, Guy continuera son émission. Depuis quelques années, il écrit également des nouvelles sportives dans le journal Le Nord. Il avoue avoir une facilité à écrire et mentionne que ses chroniques l’aident avec le contenu de son émission.
En six ans, il y a eu des hauts et des bas, mais Guy aime prendre le micro et partager ses mercredis soir avec ses éditeurs.
Cette photo a été prise lors de la 200e émission du Fanatique,
pilotée par Guy Morin (à droite) le mercredi 20 décembre, alors
qu’il questionne l’entraineur-chef des Lumberjacks, Marc-Alain
Bégin. Hunter Baillargeon (à gauche) accompagne Guy chaque
semaine pour assurer la mise en ondes. Photo : Renée-Pier Fontaine