Toutes les espèces de fleurs ont besoin d’un niveau d’ensoleillement précis pour s’épanouir. Si celui-ci n’est pas respecté, il y a de fortes chances qu’elles ne fleurissent pas ou qu’elles meurent prématurément. Vous avez un bel espace très ensoleillé dans votre jardin et vous souhaitez le décorer de jolies fleurs colorées? Voici quelques indications et idées qui vous aideront à sélectionner ces dernières.
Critères importants
Les espèces que vous choisirez doivent être adaptées à l’espace que vous désirez fleurir. Il leur faut nécessiter un ensoleillement direct et prolongé ou être en mesure de le tolérer. Néanmoins, il importe également que vous teniez compte d’autres critères, comme les besoins en arrosage, le type de sol et la zone de rusticité où vous demeurez.
Fleurs à privilégier
Il existe un grand nombre de fleurs qui se plaisent directement sous le soleil. Les suivantes n’en sont qu’un échantillon :
L’échinacée;
L’héliopsis;
L’iris;
L’orchidée;
La marguerite;
La pivoine;
La tulipe;
Le coquelicot;
Le géranium;
Le glaïeul;
Le lis;
Le pétunia;
Le tournesol.
Lorsque vous ajouterez les différentes espèces à votre jardin, assurez-vous qu’elles sont de bon voisinage et qu’elles disposent de l’espace dont elles ont besoin pour s’épanouir pleinement.
Rendez-vous dans un centre de jardin de votre région pour faire l’achat de vos fleurs préférées à cultiver en plein soleil !
purple petunia flowers in the garden in Spring time. Green background
Le melon d’eau est l’un des fruits les plus associés à l’été. Rafraîchissant, juteux et savoureux, il peut être consommé de multiples façons. En voici six pour inspirer vos menus !
En salade : coupez quelques cubes de melon d’eau, ajoutez des morceaux d’un fromage salé (halloumi, feta, parmesan, etc.) et d’autres ingrédients au goût, comme des tomates, des olives ou des verdures (bébés épinards, micropousses, etc.).
En soupe : créez une soupe froide en passant votre pastèque et un peu de basilic au robot mélangeur. Fraîcheur garantie !
En cocktail : mélangez le jus d’un melon d’eau à un alcool, comme du mousseux, ou ajoutez quelques cubes de melon congelés à votre verre pour obtenir des glaçons aromatisés et comestibles.
En sucette glacée : réduisez votre fruit au mélangeur, incorporez un peu de sucre et de jus de citron ou de lime, puis versez le tout dans les moules appropriés pour réaliser une collation irrésistible !
En barbotine : combinez du melon d’eau et d’autres fruits (framboises, fraises, etc.) avec une petite dose de sucre, quelques feuilles de menthe et de la glace broyée, et vous obtenez une délicieuse slush !
En muffin : la chair et le jus du melon d’eau sont excellents pour créer des muffins moelleux à souhait! Complétez la recette avec des cerises ou des raisins séchés, des pépites de chocolat ou vos autres ingrédients favoris.
Rendez-vous chez votre épicier ou votre producteur maraîcher local pour trouver le melon d’eau parfait pour vos recettes !
Alexandra Snider – IJL – Réseau.Presse – Le Goût de vivre
« Au cours des 150 derniers ans, la baie Georgienne a eu un écart de six pieds et demi entre le plus haut niveau d’eau possible et le plus bas. On ne pense plus que cet intervalle sera exact dans le futur », explique Rupert Kindersley, le directeur général de la Georgian Bay Association, une association qui représente environ 3 000 familles habitant autour de la baie Georgienne.
« Ces deux dernières années, on a baissé presque de deux pieds en niveaux d’eau », dit Mary Muter présidente du Georgian Bay Great Lakes Foundation, un organisme qui fait de la recherche au sujet des niveaux d’eau, les marais et les espèces envahissantes. « Actuellement, on se retrouve autour de la moyenne à long terme donc on ne voit pas l’impact des extrêmes. »
Bas niveaux d’eau
Mme Muter s’inquiète pour l’avenir : « Environnement Canada prévoit que par 2030, ce qui est seulement dans sept ans et demi, les niveaux d’eau pourraient descendre de trois pieds de plus que les bas niveaux d’eau record en 2013 », affirme Mme Muter. Déjà en 2013, il y a eu des conséquences pour les propriétaires de la baie Georgienne, « parce que si l’eau était peu profonde devant leur île ou leur terrain, ils ne pouvaient possiblement pas accéder à leur quai », dit Rupert Kindersley.
En raison de l’eau peu profonde, le soleil a pu plus facilement chauffer l’eau, ce qui a « favorisé la croissance du botulisme dans les moules quagga et les moules zébrées qui sont envahissantes, explique Mary Muter. Les oiseaux de rivages les ont mangées et il y en a des milliers qui se sont échoués sur les plages. »
Hauts niveaux d’eau
L’impact économique des hauts niveaux d’eau dans une communauté peut être extrême. En 2019-2020, notamment la ville de Wasaga Beach était fermée pendant la période de hauts niveaux d’eau. Mary Muter explique qu’à Wasaga Beach l’eau était rendue aux portes des magasins au front de mer. À Midland et Penetanguishene, les quais étaient inondés, donc les bateaux n’ont pas pu approcher. En plus, plusieurs propriétaires ont eu des dommages causés par l’eau ou l’inondation de sous-sol créant des conséquences financières graves.
Rupert Kindersley ajoute qu’il y a certaines conséquences environnementales qu’on ne peut pas atténuer. « Si les niveaux d’eau montent beaucoup plus haut que ceux de 2019-2020 à un point entre maintenant et la fin du siècle, certaines îles vont disparaître. Elles seront complètement submergées. »
Rupert Kindersley – crédit : Captured’écran
Conséquences futures
L’Association de la baie Georgienne s’inquiète à court terme pour les propriétaires. Selon M. Kindersley, afin d’accéder à leurs terrains, les propriétaires devraient se servir de quais flottants qui peuvent s’adapter aux niveaux d’eau fluctuants dans la baie Georgienne. Jean-François Robitaille, directeur de l’ingénierie pour le canton de Tiny, affirme qu’il y a des exigences de construction pour les propriétés privées au bord de l’eau et « pour l’infrastructure du Canton, tout est conçu pour les extrêmes climatiques. Que ce soit les niveaux du lac, les tempêtes plus intenses et plus fréquentes, ou les températures plus extrêmes. »
De grandes inquiétudes existent pour le long terme concernant l’impact du changement climatique sur les événements météorologiques qui peuvent faire fluctuer les niveaux d’eau. « La migration des animaux de marais, toutes sortes de flore et de faune pourraient être affectées par des fluctuations rapides en niveaux d’eau », explique Rupert Kindersley. Il est certain selon lui que « le coût annuel de la variation des niveaux d’eau va monter de façon signifiante », mais il y aura des conséquences qui ne pourront pas être évitées ni atténuées.