Santé
Breathwork avec Juliane Lacroix
🌟 Curieux d’expérimenter le pouvoir la respiration consciente?
🌟 Tu aimes la musique? Les nouvelles sensations?
🌟 Besoin de décrocher de ton quotidien afin de t’offrir un moment pour toi?
🌟 Envie de vivre une expérience unique dans un environnement chaleureux et sécuritaire?
🌟 Intéressé d’apprendre des techniques de respiration pour améliorer ta santé physique et mentale?
Je t’invite à te joindre à cet atelier de breathwork à Hearst, le jeudi 30 novembre de 19h à 21h.
L’atelier se déroulera dans le gymnase de l’Université de Hearst.
📍 Le coût pour la session de breathwork est de 30$
❗️❗️ *PROMO* ❗️❗️jusqu’au 15 novembre!
2 ateliers de breathwork pour 50$ (25$/atelier)
3 ateliers de breathwork pour 60$ (20$/atelier)
Au menu:
👉🏻 Cercle d’ouverture
👉🏻 Méditation d’ancrage pour prendre le temps d’arriver et se centrer
👉🏻 Activation physique pour réveiller son corps
👉🏻 Breathwork guidée d’une quarantaine de minutes où tu respireras au son d’une incroyable trame musicale! 🌈🎶 Le breathwork sera suivi d’une période d’intégration où tout ce que tu as à faire est de relaxer et te laisser bercer par la musique.
👉🏻 Cercle de fermeture
☯️ À noter que ces ateliers s’adressent autant aux hommes qu’aux femmes et sont conçus pour tous les âges (14 ans et plus)!
🌀 À emporter:
– Tapis de yoga ou matelas de camping (vous serez couchés pendant 1h15)
– Couverture et oreiller pour être confortable durant la session de respiration guidée (la température corporelle du corps change durant le breathwork, alors n’hésite pas d’en emporter plus que pas assez!). Tu peux même emporter ton sleeping bag pour être bien au chaud!
– Vêtements souples pour être confo
– Bouteille d’eau
– Masque pour les yeux (j’en aurai plusieurs d’extra)
🌀 À noter:
– Je te suggère d’éviter de manger 2 heures avant l’événement (un estomac trop plein affectera les effets désirés).
– Si tu es enceinte ou si tu souffres de maladies cardiovasculaires ou pulmonaires, à noter que tu ne pourras pas pratiquer toutes les techniques enseignées. SVP me laissez savoir avant le début de l’atelier. Il est aussi préférable d’en discuter avec ton médecin.
-Planifie arriver d’avance pour avoir le temps de t’installer confortablement avant le début de la session.
Breathwork avec Juliane Lacroix
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– Couverture et oreiller pour être confortable durant la session de respiration guidée (la température corporelle du corps change durant le breathwork, alors n’hésite pas d’en emporter plus que pas assez!). Tu peux même emporter ton sleeping bag pour être bien au chaud!
– Vêtements souples pour être confo
– Bouteille d’eau
– Masque pour les yeux (j’en aurai plusieurs d’extra)
🌀 À noter:
– Je te suggère d’éviter de manger 2 heures avant l’événement (un estomac trop plein affectera les effets désirés).
– Si tu es enceinte ou si tu souffres de maladies cardiovasculaires ou pulmonaires, à noter que tu ne pourras pas pratiquer toutes les techniques enseignées. SVP me laissez savoir avant le début de l’atelier. Il est aussi préférable d’en discuter avec ton médecin.
-Planifie arriver d’avance pour avoir le temps de t’installer confortablement avant le début de la session.
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📍 Le coût pour la session de breathwork est de 30$
❗️❗️ *PROMO* ❗️❗️jusqu’au 15 novembre!
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5 conseils pour lutter contre la dépression saisonnière
Les longs mois d’hiver mettent votre moral ou votre bienêtre mental à rude épreuve ? Voici quelques conseils pour combattre la déprime et les symptômes de la dépression saisonnière.
1. Profitez du soleil : habillez-vous chaudement et sortez faire le plein de vitamine D chaque fois que c’est possible. À l’intérieur, ouvrez les rideaux et installez vous près des fenêtres lors des jours en soleillés.
2. Faites du sport : en plus de vous garder en santé, l’activité physique favorise la sécrétion d’endorphines et de sérotonine. Ces « hormones du bonheur » régulent l’humeur et procurent un effet antidépresseur.
3. Pratiquez la luminothérapie : vous exposer une trentaine de minutes par jour à une lampe dont la lumière imite les rayons du soleil pourrait grandement vous aider à vous sentir mieux.
4. Mangez bien : même si vous avez envie d’aliments sucrés, assurez-vous de préparer des repas équilibrés qui fourniront à votre corps les nutriments essentiels pour l’énergiser.
5. Détendez-vous : trouvez des activités qui vous permettent de relaxer (tricoter, écouter de la musique, etc.). La méditation, par exemple, réduit le stress et les symptômes de la dépression, en plus de « booster » l’énergie. Lire avant de se coucher peut également favoriser un meilleur sommeil.
Baisse d’énergie marquée, somnolence malgré une bonne nuit de sommeil, sentiment de tristesse continu… si vos symptômes vous empêchent de vaquer à vos occupations quotidiennes, n’hésitez pas à consulter des professionnels de la santé. Un médecin, un pharmacien ou un psychologue, notamment, pourront vous proposer des solutions adaptées à vos besoins.
Le CASSDC demande de mettre une politique pour les monuments commémoratifs
Le Conseil d’administration des services sociaux du district de Cochrane (CASSDC) a demandé aux municipalités de mettre en place une politique à l’égard des monuments commémoratifs au bord des routes, souvent installés aux endroits où un accident mortel a eu lieu. « Selon le CASSDC, ces monuments sont parfois des déclencheurs pour les employés qui effectuent les premières interventions, notamment les policiers, les ambulanciers et les pompiers. Ceux-ci éprouvent déjà certaines difficultés en matière de santé mentale, ayant vu des choses troublantes dans le cadre de leur travail », dit le maire de Mattice-Val Côté qui siège à cette table.
La politique servirait à établir des règlements pour aider les intervenants de première ligne, par exemple que le monument soit en place durant un temps limité, etc. « Nous n’avons pas encore développé une politique. Nous allons travailler en collaboration avec les municipalités voisines sur le sujet. »
La fibromyalgie, une maladie méconnue
La fibromyalgie est une maladie chronique, qui affecte la vie de ceux qui en souffrent, caractérisée par des douleurs persistantes et une sensibilité à la pression. Elle prend toute sorte de formes et affecte chaque individu de manière différente. L’Association de la fibromyalgie du Canada organise des semaines de sensibilisation à la maladie et aux groupes de soutien pour les gens qui vivent avec la maladie. Ainsi, la semaine du 23 octobre est consacrée à la sensibilisation aux groupes de soutien à travers le pays.
Ninon Fontaine a reçu ce diagnostic en 2014 alors qu’elle était enseignante au primaire. Graduellement, ses symptômes l’ont empêchée de remplir ses fonctions professionnelles. Elle a même dû interrompre sa carrière pendant plusieurs années, épuisée et en douleur de plus en plus fréquemment.
Pendant son congé maladie, elle a participé à des ateliers de gestion de la douleur et a eu recours aux services d’un psychologue à Thunder Bay. Elle a aussi joint le groupe de gestion de la douleur à Hearst. Les patients de la région peuvent faire demande à l’Équipe de santé familiale pour participer aux ateliers de gestion de la douleur ; c’est le groupe de soutien principal pour les personnes qui souffrent de cette maladie. « Il est difficile d’expliquer mes symptômes aux autres, puisque moi-même je peux avoir de la difficulté à expliquer ce que je ressens. Mes douleurs sont souvent aux jambes, jusqu’aux muscles fessiers. Le mal est comme si ma peau voulait s’étirer. Parfois, j’ai l’impression que les gens ne me croient pas, la majorité oui, mais j’ai eu des sceptiques même dans mon entourage au début. J’ai déjà eu des douleurs au thorax qui accompagnaient mon mal de jambes, mais ça fait plusieurs années maintenant que je n’ai pas eu de crises à ce niveau-là », explique-t-elle.
Vivre avec la maladie représente un défi pour Ninon : changement d’habitudes, surveiller l’intensité dans les activités, limiter la pratique de sports qu’elle aimait tant, créer une routine de sommeil adéquate, etc. La fatigue et le stress étant deux de ses déclencheurs de crises, elle reste toujours vigilante. « Quand je suis en crise, je ne fais rien, j’ai trop mal aux jambes. Je me repose et c’est tout. Parfois, quand je vis des évènements stressants, je n’ai pas de crises, mais la plupart du temps, c’est relié, le stress et une crise », ajoute-t-elle.
Quant aux traitements, ils sont nombreux, mais certains médicaments peuvent fonctionner sur une personne et non sur une autre. Il est aussi primordial de bien dormir, donc parfois, en plus de la médication pour la douleur s’ajoute celle pour le sommeil. « J’ai pris quatre ans de congé. Quand j’ai arrêté, j’étais vraiment au bout du rouleau. J’avais manqué beaucoup de travail en raison de ma maladie, j’avais pris des congés de plusieurs semaines. Cette année-là, mes symptômes s’étaient intensifiés et mon congé a duré plus longtemps que prévu. Je me suis reposée, mes crises étaient moins fréquentes, mais j’en avais quand même », explique Ninon.
Mme Fontaine est membre de certaines communautés Facebook, ce qui l’encourage à voir sa situation d’un meilleur œil. « Il y en a qui sont pires que moi, d’autres ont moins de symptômes, les gens donnent des conseils sur quoi faire et quoi éviter. C’est sûr que pour moi, les leçons je les apprends à la longue, au fur et à mesure. La chose primordiale à éviter est les situations de grand stress pour moi », explique-t-elle.
Maintenant retraitée, Ninon Fontaine peut mieux contrôler son environnement. Toutefois il lui arrive encore de manquer des évènements importants à cause d’une crise. Elle affirme que les activités de plein air, au volant de sa motocyclette ou de sa motoneige, l’ont beaucoup aidée. Ces moments lui permettent de faire de la pleine conscience, ne penser à rien et profiter de la nature. Plusieurs, comme elle, utilisent la nature pour changer leur mal de place. Selon Statistique Canada, 2 % de la population canadienne âgée de 25 ans et plus souffrirait de la fibromyalgie, soit près de 708 800 personnes. Chez les 65 ans et plus, 2,9 % en seraient touchés, soit 185 400 personnes. Les femmes représentent 4,7 % (161 900) et les hommes, 0,8 % (23 600).
Doris Ermel remet 14 215 $ à la Fondation de l’Hôpital pour ses 90 ans
Avec l’aide de la directrice de la Fondation de l’Hôpital Notre-Dame, Francine Laberge, Doris Ermel a pris l’initiative de créer des cartes des dons à son effigie pour demander à sa famille et ses amies de l’aide à atteindre son objectif de 5 800 $ envers l’achat d’un moniteur de signes vitaux. Plus de 125 cartes ont été envoyées et 103 personnes ont répondu à l’appel. Grâce à ces dons, deux moniteurs seront achetés et le surplus, elle a choisi de le donner pour acheter un nouveau matelas. C’est la troisième fois que Mme Ermel entreprend d’amasser des dons pour la Fondation de l’Hôpital Notre-Dame de Hearst. La première fois, pour souligner son 60e anniversaire de mariage, elle a versé 3 000 $ afin d’aménager une chambre de soins palliatifs. Ensuite, lors de son 80e anniversaire de naissance, c’est 5 000 $ qui ont été remis au projet de CT scan. Cette année, les personnes qui l’entourent ont dépassé ses attentes en offrant 14 215 $ en dons.
Mme Ermel entreprend toutes ces démarches pour la Fondation parce qu’elle avoue ne pas vouloir de cadeaux pour ses anniversaires, elle préfère redonner pour aider sa communauté. Elle choisit parmi tous les articles sur la liste des besoins de l’hôpital celui qui serait plus susceptible d’être utile un jour pour elle et son entourage. Mme Laberge s’est occupée de la création des cartes et les a remises à Doris Ermel, qui les a ensuite postées une par une aux destinataires.
Mme Ermel vit encore dans sa maison, conduit sa voiture, est pleine d’énergie ; elle ne reflète pas ses 90 ans. Elle aime envoyer des lettres manuscrites aux membres de sa famille et s’occupe les idées en faisant des mots croisés, pour garder une bonne mémoire, confie-t-elle. Elle est toujours active au sein des Auxiliaires de la Légion de Hearst et fera encore cette année sa traditionnelle croustade aux pommes pour le jour du Souvenir, le 11 novembre.
Subvention reçue pour de la recherche sur les priorités locales en santé
Une subvention de 2,4 millions de dollars a été remise au Centre Dr Gilles Arcand pour l’équité en santé de l’Université de l’École de médecine du Nord de l’Ontario. Les fonds serviront à un groupe de chercheurs afin qu’ils puissent se pencher sur la question des priorités locales en santé.
La subvention provient du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH). Aux yeux du député de Mushkegowuk-Baie James, Guy Bourgoin, il s’agit d’une belle initiative quant à l’investissement. Il croit toutefois que l’objectif de l’étude est sans fondement. « Les priorités, ils les connaissent, nos propres hôpitaux le demandent, on rencontre tous les organismes en santé et ils ont l’information. Je ne comprends pas pourquoi donner un autre deux millions pour une autre étude quand ils détiennent les informations. Si c’est bon, oui ! C’est de l’argent investi pour essayer de résoudre les problèmes qu’on a, mais n’oublions pas que les personnes qu’ils consultent sont les mêmes qu’on consulte. On parle avec le même monde. Les solutions, ils les ont. »
Par l’entremise d’un communiqué de presse, l’Université de l’EMNO indique que l’étude portera sur la façon dont les établissements d’enseignement peuvent orienter leur enseignement, leurs recherches et leurs services afin de répondre aux besoins communautaires locaux et dans le monde en général.
Les codirecteurs de l’étude sont les Drs David Marsh de l’Université de l’EMNO, Alex Anawati de Horizon Santé-Nord et Joseph LeBlanc, Ph. D. de l’Université Lakehead, appuyés par une équipe de plus de 20 chercheurs et 12 organismes partenaires. La directrice de l’étude, Erin Cameron, qui est aussi directrice du Centre Dr Gilles Arcand pour l’équité en santé, mentionne qu’alors que le mouvement mondial est grandissant pour la recherche sur la responsabilité sociale, l’étude explorera le potentiel de transformation d’un réseau de recherche socialement responsable pour encourager les partenariats et le changement institutionnel.