Une arme de poing, des devises canadiennes et une grande quantité de drogues ont été saisies après l’exécution d’un mandat de perquisition à Kapuskasing par la Police provinciale de l’Ontario.
En début de soirée le 26 mars, l’Unité communautaire des crimes de rue de la région du Nord-Est de la Police provinciale de l’Ontario avec l’aide d’agents de la PPO de la Baie James, du Groupe tactique d’intervention (GTI) du Nord-Est et de l’Unité tactique et de sauvetage (UTR) de l’OPP, a exécuté un mandat de perquisition sur l’avenue O’Brien, à Kapuskasing. Au cours de l’enquête, la police a saisi des drogues soupçonnées d’être du fentanyl, de la cocaïne, du crack, de la méthamphétamine en cristaux, de l’oxycodone et du Xanax, dont la valeur marchande totale est estimée à 70 000 $. Environ 2400 $ en monnaie canadienne, une arme de poing Glock 43 et six téléphones portables ont également été saisis. À la suite de cette enquête, un homme de 64 ans de Kapuskasing et un homme de 28 ans de Toronto ont été arrêtés et tous les deux accusés des faits suivants : plusieurs chefs d’accusation de possession d’une substance de l’annexe I dans le but d’en faire le trafic (cocaïne, opioïde et méthamphétamine), possession d’une substance de l’annexe IV dans le but d’en faire le trafic, possession de produits de la criminalité de moins de 5 000 $, entreposage négligent d’une arme à feu, possession d’une arme à feu à autorisation restreinte chargée, possession non autorisée d’une arme à feu à autorisation restreinte et possession d’une arme à feu en violation d’une ordonnance d’interdiction.
En outre, un jeune homme de 15 ans, originaire de Niagara Falls, a été arrêté et inculpé des mêmes faits et d’une accusation de non-respect d’une ordonnance de mise en liberté.
Les trois accusés susmentionnés restent en détention dans l’attente d’une prochaine audience de mise en liberté sous caution devant la Cour de justice de l’Ontario à Kapuskasing.
De plus, une personne âgée de 16 ans de Whitby a été arrêtée et accusée d’à peu près les mêmes faits. Le dernier accusé a été libéré à l’issue d’une enquête sur le cautionnement et doit comparaitre devant la Cour de l’Ontario à Kapuskasing le 29 avril 2024.
Samedi dernier, peu après 1 h 30 du matin, des policiers de la Police provinciale de l’Ontario (PPO) se sont rendus sur les lieux d’une collision entre deux véhicules sur le chemin Plamondon à Mattice. Deux personnes ont été transportées par ambulance à l’Hôpital Notre-Dame de Hearst pour y soigner des blessures ne mettant pas leur vie en danger.
À la suite de l’enquête, un homme de 29 ans de Jogues fait l’objet d’une suspension administrative du permis de conduire pour une période de trois jours en vertu du Code de la route et a été accusé des infractions suivantes tels que conduite d’un VTT avec un passager sans qu’il soit conçu à cet effet et conduite sans le port d’un casque ou portant un casque inapproprié.
De plus, un homme de 27 ans de Mattice a été accusé d’avoir conduit en compagnie d’un passager sans casque ou avec un casque inapproprié.
Enfin, un homme de 26 ans de Val Coté a été accusé pour ne pas avoir demeuré à l’endroit d’un accident, omission de signaler un accident, non-assistance à personne en danger, conduite imprudente causant des lésions corporelles.
L’enquête est toujours en cours et des mises à jour seront fournies dès qu’elles seront disponibles. Toute personne ayant des renseignements sur cette enquête doit communiquer avec la Police provinciale de Hearst au 1-888-310-1122.
Afin de conserver l’anonymat, il faut communiquer avec Crime Stoppers au 1-800-222-8477 (TIPS) ou en ligne au www.ontariocrimestoppers.ca.
Une récompense en argent pouvant aller jusqu’à 2000 $ pourrait être remise à la personne offrant des renseignements pouvant clore ce dossier.
Au cours de la semaine du 14 au 17 aout dernier, les agents d’application de la loi ont procédé à une campagne de vérification intensive des véhicules automobiles commerciaux sur les autoroutes du Nord. À plusieurs endroits entre North Bay et Thunder Bay, dont la ville de Hearst, les véhicules lourds et commerciaux ont été dans l’obligation de s’arrêter aux divers points de service pour une inspection. Des membres de la Police provinciale de l’Ontario et d’autres du ministère des Transports de l’Ontario se sont joints pour cette initiative d’inspection. Au point de contrôle du MTO à Hearst, situé sur la rue Front à l’ouest de la Ville, plusieurs véhicules de différentes grosseurs ont été aperçus lors de cette semaine d’inspection. Au total, 281 véhicules commerciaux, à la fois légers et lourds, ont été arrêtés et inspectés dans le Nord de l’Ontario. De ce nombre, 63 véhicules ont été mis hors services, cinq ont été remorqués et les plaques retirées, et 371 accusations ont été portées.
La Gendarmerie royale du Canada (GRC) est maintenant responsable d’enquêter ou non sur le retrait de certaines terres protégées de la Ceinture de verdure par le gouvernement de Doug Ford pour les confier au développement résidentiel. Au lendemain de la démission du chef de cabinet du ministre des Affaires municipales et du Logement, qui était au coeur d’un rapport accablant de la vérificatrice générale sur cet « échange de terres », la Police provinciale de l’Ontario a déclaré qu’elle avait soumis le dossier à la GRC pour éviter tout conflit d’intérêts potentiel. La GRC a confirmé qu’elle évaluait les informations soumises par la PPO avant d’indiquer leur intention.
Un individu de 41 ans de Jogues a frustré la population de Hearst, mais également les propriétaires d’entreprise, l’équipe de la Ville et les institutions scolaires, avec des actes de vandalisme sur une période d’un mois. Au moment des évènements, il était difficile de savoir s’il s’agissait d’un seul individu ou d’un groupe. De manière aléatoire, les voitures, fenêtres, garages, commerces, écoles étaient saccagés presque chaque nuit. Cet individu ne semble pas en être à ses premiers démêlés avec la justice puisque parmi les 48 chefs d’accusation auxquels il fait face, l’une d’elles est pour violation de probation.
Des agents du détachement de la baie James de la Police provinciale de l’Ontario ont arrêté un seul homme en lien avec la série de gestes de vandalisme survenue entre le 13 juillet et le 11 aout dernier. C’est à la suite des actes de vandalisme sur l’immeuble de la bibliothèque publique de Hearst en plein centre-ville le 11 aout dernier que les policiers ont reçu un appel du public vers 2 h le matin indiquant une possible introduction par effraction sur la rue George. Un contrôle routier a été érigé et a permis de mettre la main sur ce suspect âgé de 41 ans, originaire de Jogues.
Selon des informations obtenues par le journal Le Nord, plusieurs des actes commis lors de cette période ont été enregistrés par des vidéos de surveillance, mais le vandale portait une cagoule au visage ce qui ne permettait pas aux enquêteurs de l’identifier. L’individu arrêté aurait indiqué aux policiers qu’il entendait des voix qui le mandataient de commettre ses actes, mais la PPO n’a pu confirmer cette affirmation puisque la cause est maintenant dans les mains du tribunal.
Cet homme de 41 ans a été arrêté et incarcéré jusqu’au moment de son audience devant un juge de la Cour de justice de l’Ontario tenue à Hearst lundi dernier, qui a déterminé sa mise en liberté sous caution. Il est accusé de 48 chefs d’accusation, soit 16 pour des méfaits de moins de 5 000 $ et six pour des méfaits de plus de 5 000 $. Parmi les autres accusations, on retrouve dix chefs d’accusation d’introduction la nuit et violation de probation.
Selon le communiqué de presse de la PPO, au cours de cette cavale d’environ quatre semaines, 36 véhicules ont été la cible de méfaits et 23 fenêtres de véhicules ont été brisées autant chez les concessionnaires automobiles que sur des véhicules stationnés dans les rues ou des cours résidentielles. Une centaine de pneus ont été fendus intentionnellement, quatre fenêtres de bâtiments et une porte de garage du complexe sportif Claude-Larose ont également été endommagées.
Selon le corps policier, l’estimation des dommages est évaluée entre 80 000 $ et 100 000 $. Le cout total pourrait augmenter puisque seulement chez le concessionnaire Expert Chevrolet Buick GMC, le propriétaire indique que la facture des réparations chez eux se situe à près de 40 000 $. « On est arrivé un matin et nous avons constaté que cinq véhicules avaient été défoncés », explique Robert Ringuette. « Cinq parebrises ont été fracassés, des coups de hache ont été donnés sur trois capots, sur deux autres véhicules ce sont les ailes qui ont été atteintes par la hache. On évaluait des dégâts entre 30 000 $ et 40 000 $. On est en mode calcul actuellement pour savoir si on utilise nos assurances ou pas ! Si on utilise les assurances, elles vont augmenter l’année prochaine même si ce n’est carrément pas de notre faute. Et, je n’ai aucune idée de la suite des choses si on doit poursuivre l’individu en question ou tous les chefs d’accusation sont regroupés ensemble, on n’a pas ces réponses-là en ce moment. »
Certains véhicules et immeubles de la Ville de Hearst font aussi partie de la longue liste des cibles de ces actes de vandalisme. En plein durant les festivités du 100e, deux camions municipaux ont nécessité un changement de pneus, des coups de hache ont été donnés à la porte de garage, côté est, donnant sur la patinoire Rumun-Ndur et les fenêtres de la bibliothèque municipale ont été brisées. « De notre côté, on devra probablement payer les réparations puisque pour chacun des actes commis, nous avons une franchise de 1000 $ avec les assurances », explique Éric Picard, directeur général de la Ville de Hearst. « Pour la bibliothèque, nous sommes que locataire, donc il faudrait demander au pro- priétaire de la bâtisse. Après ces évènements, nous nous sommes ajustés. Nous avons décidé au début d’aout que les véhicules municipaux ne seront plus laissés à l’extérieur. C’est évidemment plus facile l’été parce qu’on peut utiliser la petite patinoire, mais on va trouver des solutions. »
Chez Ford Lecours Motor Sales, dans la nuit du vendredi 21 juillet au samedi 22 juillet, un camion a été victime du présumé individu arrêté. Toutes les vitres d’un camion ont été fracassées.
Lors de l’enquête policière du lundi 7 aout dernier, un avis public a été émis par la Police provinciale de l’Ontario demandant la collaboration des personnes ayant des informations concernant ces actes de vandalisme. Une récompense pouvant atteindre 2000 $ avait également été promise pour toute information menant à l’arrestation de la ou des personnes visées.
Plus les jours passaient et les actes de vandalisme s’ajoutaient, la population devenait de plus en plus amère. Il n’était pas rare de lire des commentaires de frustration sur les médias sociaux. Le commentaire revenant le plus souvent est à propos des victimes qui devaient payer la facture pour les réparations de leur propre poche avec très peu d’espoir de se faire rembourser même si le malfaiteur est attrapé.
Des centaines de pneus ont été percés intentionnellement au cours des 30 jours de vandalisme.
Photo : PPO
Le 3 aout dernier, la Police provinciale de l’Ontario affichait quelques photos des méfaits commis dans le stationnement du ministère des Richesses naturelles et de la Faune de l’Ontario de Hearst. Une fois de plus, la PPO demandait l’aide du public pour résoudre cette affaire qui durait depuis le 13 juillet. Une récompense pouvant aller jusqu’à 2000 $ était promise à la personne qui fournirait des informations conduisant à l’arrestation du vandale.
La Ville de Hearst est aux prises avec une vague de vandalisme sur des véhicules depuis les trois dernières semaines. Le détachement de Hearst de la Police provinciale de l’Ontario (PPO) sollicite l’aide du public pour, entre autres, trois cas de vandalisme sur des véhicules.
Le 12 juillet, peu après minuit, une voiture de patrouille de la Police provinciale de l’Ontario s’est fait crever deux pneus chez un concessionnaire sur la route 11 à Hearst.
Le 27 juillet, vers 4 h 30, trois camionnettes et deux VUS ont été endommagés au niveau des parebrises et des capots, toujours chez un concessionnaire local. Encore le 27 juillet vers 4 h 30, chez un concessionnaire voisin, un camion de transport et une camionnette ont été vandalisés.
Toute personne ayant des informations concernant ces actes de vandalisme est priée d’appeler la PPO au 1 888 310-1122. Celles souhaitant demeurer anonymes peuvent communiquer avec Échec au crime au 1 800 222-8477 ou soumettre des informations en ligne à ontariocrimestoppers.ca. Une personne peut recevoir une récompense pouvant atteindre 2000 $ advenant une information menant à l’arrestation de la ou des personnes visées.
La Police provinciale de l’Ontario avec l’unité des crimes et l’escouade ROPE ont travaillé de concert pour l’arrestation d’un individu qui était recherché en vertu d’un mandat pancanadien et qui se retrouvait à Kirkland Lake.
Le 25 juillet, les forces de l’ordre ont mis la main sur plusieurs sortes de drogues qui pourraient être du fentanyl, de la méthamphétamine en cristaux, de l’ecstasy, du cannabis, de l’hydromorphone, de la morphine et de la cocaïne pour une valeur de marchande de 16 700 $.
Deux personnes ont été arrêtées et accusées de multiples infractions, dont possession de drogue dans le but d’en faire le trafique. Lors de ces arrestations, les policiers ont également mis la main sur de l’argent en devise canadienne et des armes prohibées.
Fentanyl
Le lendemain le 26 juillet, la PPO a mis la main sur une autre personne recherchée et soupçonnée de transporter de la drogue via le train de Cochrane à Moosonee. L’enquête a permis au corps policier de mettre la main sur une quantité de présumé fentanyl d’une valeur de 128 000 $ sur la rue.
Un homme de 47 ans de Moosonee fait face à une accusation de trafic d’une substance appartenant aux opioïdes et est demeuré en détention jusqu’à son enquête sur cautionnement.
Un homme de 66 ans de Wawa est porté disparu et la PPO demande l’aide du public. La dernière mise à jour concernant cet homme porté disparu par sa famille a été faite hier sur le site de la PPO.
Il a été vu pour la dernière fois le 25 juillet 2023 à Wawa. Il se nomme Jim, mesure 5’10″ et pèse environ 170 livres. Il a les cheveux blancs courts, avec une barbiche blanche et les yeux marrons. La dernière fois qu’il a été vu, il portait un débardeur bleu, un jean bleu, une casquette de baseball camouflage verte, des chaussures de course noires et une veste de pluie verte.
Selon le communiqué, on pense qu’il pourrait se retrouver dans la région de Wawa. Si vous voyez cette personne, veuillez appeler la PPO au 1 888 310-1122.
La plupart des autopatrouilles des policiers de la Police provinciale de l’Ontario du détachement de la baie James sont maintenant munies de la nouvelle technologie de reconnaissance des plaques d’immatriculation. Également, les policiers seront bientôt équipés d’une caméra corporelle.
Le sergent Daniel Crowell, qui est gestionnaire des opérations au bureau du détachement de la PPO à Hearst, en a fait l’annonce lors d’une récente rencontre de la Commission des services de police locale. Il s’agit d’une caméra installée dans les véhicules ; elle lit tout simplement les plaques dans son champ de vision.
L’appareil alertera le policier à bord du véhicule si les plaques sont associées à des véhicules volés, des plaques suspendues, des permis suspendus, des étiquettes expirées, des plaques associées à des personnes avec mandats d’arrêt ou des personnes portées disparues.
Cette nouvelle technologie facilitera le travail des policiers en plus d’être plus sécuritaire. « J’ai l’impression qu’il va y avoir une augmentation d’infractions provinciales par rapport à cette nouvelle technologie », explique le sergent Crowell. « Dans le passé, on devait taper les plaques d’immatriculation manuellement dans l’ordinateur, ce qui augmentait les risques de la conduite distraite. Maintenant, les officiers peuvent simplement se stationner sur le bord de la route et la caméra peut lire les plaques de chaque véhicule. »
Le système de caméra n’est pas infaillible quant aux véhicules avec des couvertures de plaque d’immatriculation ou encore lorsque les plaques sont abimées. « Il faut mentionner que les couvertures de plaque sont illégales même si elles sont vendues en magasins, et les officiers peuvent arrêter un automobiliste pour cette raison », explique-t-il. « Peu importe la couleur ou si elles sont transparentes, ce n’est pas légal. Les plaques couvertes se salissent facilement entre la plaque et le plastique et on n’est plus capable de lire les plaques. »
Ce système de caméras enregistre également devant les autopatrouilles lors des arrestations routières. « On pourra enregistrer une intervention entre un policier et la personne interceptée, mais on sera aussi en mesure de filmer un évènement comme une bagarre, par exemple », explique le sergent Crowell.
Caméra corporelle
La province est également en processus pour équiper tous les policiers d’un système de caméra corporelle. Cette pièce d’équipement est attendue depuis longtemps par les policiers de partout au Canada. « On a toujours voulu les avoir, c’est extrêmement important. Le comportement des personnes devant nous peut changer, ça réduit le nombre de plaintes et ça réduit le temps des enquêtes sur des plaintes », ajoute-t-il.
Faciliter les enquêtes
Advenant un incident survenu à Hearst et qu’une plaque d’immatriculation est donnée, tous les agents de la PPO ou les autres services de police municipale sont alertés s’ils croisent le véhicule en question. À titre d’exemple, ce système pourrait aider à trouver des personnes suspectes, des per-sonnes portées disparues ou des alertes Amber.
Le seul désavantage, un véhicule appartenu conjointement peut être intercepté si l’une des deux personnes a un mandat d’arrêt ou encore une suspension de permis conduire. Le système alertera les policiers même si ce n’est pas le bon conducteur derrière le volant.
Le bureau de la Police provinciale de l’Ontario de Hearst a accueilli trois nouvelles recrues en juin dernier. Ces postes avaient été ouverts dernièrement à la suite du départ de trois agents.
Les 16 postes rattachés au département de Hearst sont maintenant pourvus. Deux des trois nouveaux policiers, un homme et une femme, sont originaires du Québec et sont bilingues. La troisième recrue arrive d’Ottawa et se débrouille quelque peu en français.
Le roulement de personnel est constant dans les postes de police de la route 11 puisque les jeunes recrues viennent bien souvent prendre de l’expérience dans le Nord avant de faire une demande d’emploi dans les régions souhaitées plus au sud de la province.
Recrutement
Entretemps, la Police provinciale de l’Ontario embauche des cadets aux quatre coins de la province. Le programme des cadets de la PPO vise à améliorer le perfectionnement professionnel et l’expérience des futurs agents de police. Le travail des cadets consiste à aider les agents de première ligne dans des tâches administratives et l’engagement communautaire en soutenant les initiatives de prévention du crime et de sécurité publique. Les postes de cadets consistent en un contrat d’un an avec possibilité de prolongation d’une année supplémentaire. Les personnes choisies reçoivent une formation rémunérée de deux semaines.
Pour être admissible à devenir cadet, les candidats doivent avoir entre 18 et 25 ans. Aucune expérience préalable en droit ou en sécurité n’est requise. Le poste est à temps plein avec la possibilité de travailler à temps partiel advenant que le candidat soit inscrit dans des études postsecondaires. Les candidatures sont acceptées jusqu’au vendredi 11 aout 2023.