Vous cherchez quels accessoires porter pour la période des Fêtes ? Découvrez les tendances les plus remarquées en 2022 !
Bijoux
Les bracelets massifs ont la cote; vous pouvez en porter sur un bras nu, un gant long ou par-dessus une manche de chandail. Optez pour un seul bracelet extralarge ou enfilez-en plusieurs pour un style branché. Par ailleurs, les boucles d’oreilles pendantes garnies de strass et les chaînes en or volumineuses vous font briller de mille feux !
Chaussures et compagnie
Les chaussures plateformes de style disco, les cuissardes évasées très hautes et les bottines blanches ajoutent du caractère à n’importe quelle tenue. Quant aux chaussettes hautes en laine épaisse colorée ou de teinte neutre, elles donnent une touche ludique ou grunge à votre ensemble.
Couvre-chefs
La balaclava (ou cagoule, si vous préférez) vous confère un air mystérieux. L’indémodable chapeau de cowboy, pour sa part, vous donne envie de danser en ligne toute la nuit ! Et le chapeau cloche en fausse fourrure, discret ou excentrique, attire tous les regards.
Sacs
Mini sac en bandoulière, sac à main rectangulaire de taille moyenne ou fourre-tout volumineux : vous avez l’embarras du choix ! Pour les Fêtes, les modèles chics avec une ganse en chaîne dorée ou en cuir tressé ainsi que les finis métallisés sont des valeurs sûres !
Ceintures
Parmi les ceintures tendance cette année, on trouve des modèles extralarges et s’apparentant à des corsets. En outre, sachez qu’il est désormais permis de porter deux ou trois ceintures, identiques ou assorties. À vous de joue !
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Quelle que soit votre identité de genre, revêtez les accessoires qui vous plaisent avec fierté pour exprimer votre personnalité !
Si les femmes de 50 à 69 ans présentent le plus haut taux de cancer du sein et qu’un examen de dépistage par mammographie leur est recommandé tous les 2 à 3 ans, les femmes de tous âges sont susceptibles de recevoir un diagnostic de cancer du sein au cours de leur vie.
Statistiques
Le cancer du sein touche une femme sur huit au cours de sa vie et est la deuxième cause de décès par cancer chez les Canadiennes. Si son risque augmente avec l’âge, près de 20 % des diagnostics de cancer chez les femmes de 20 à 49 ans sont des cancers du sein. Ceux-ci constituent également la première cause de décès par cancer pour cette tranche d’âge.
Prévention
Faites preuve de proactivité et de vigilance pour réduire votre risque de cancer du sein ou augmenter vos chances que celui-ci soit détecté le plus tôt possible. Informez-vous sur les différents facteurs de risque afin d’adapter vos habitudes de vie et surveillez régulièrement votre poitrine à la recherche de changements. Voici ce qu’il faut observer :
La forme (volume, déformation, masse visible ou palpée, etc.) ;
La peau (rougeurs, épaississement, nouvelles veines, etc.) ;
Les mamelons (écoulement, déviation, eczéma persistant, etc.).
À la moindre préoccupation au sujet de la santé de vos seins, communiquez avec un professionnel de la santé.
Votre région a la chance de compter plusieurs femmes d’affaires audacieuses et déterminées. En plus de contribuer à faire rouler l’économie d’ici, elles constituent des modèles pour les écolières et les étudiantes qui réfléchissent à leur avenir professionnel. Pour enrichir leur parcours, ces femmes inspirantes ont tout à gagner à tirer profit des réseaux. Voici pourquoi !
Services en tous genres
Les femmes qui se lancent dans le monde des affaires font face à de nombreux obstacles et défis. Celles-ci doivent porter plusieurs chapeaux et, bien souvent, s’attaquer à des tâches qui ne leur sont pas familières (rédiger un plan d’affaires, rechercher du financement, acquérir des certifications, etc.).
Heureusement, les réseaux de femmes d’affaires offrent des services, comme des conférences, des formations et du mentorat (ou du marrainage), qui permettent à celles qui souhaitent se lancer en affaires ou qui veulent propulser leur entreprise de parfaire leurs connaissances — et de gagner en assurance !
Rencontres enrichissantes
Par ailleurs, être membre d’un ou de plusieurs réseaux de femmes d’affaires donne la possibilité de rencontrer une grande quantité de personnes clés aux parcours variés. Les activités de réseautage, qu’elles soient virtuelles ou en présentiel, mettent en relation des femmes ayant des points en commun et qui ne se seraient peut-être jamais rencontrées autrement. De ces échanges peuvent éclore des collaborations des plus fructueuses, voire naître des partenariats à long terme qui profiteront à toutes les parties impliquées.
Enfin, les réseaux de femmes d’affaires permettent de briser l’isolement, de transmettre ses connaissances, d’obtenir du soutien et de tisser des liens d’amitié. Vous êtes une femme d’affaires ou songez à le devenir ? Quels que soient vos projets de carrière, joindre un réseau vous aidera à atteindre vos objectifs !
FRANCOPRESSE – Les femmes francophones en situation minoritaire, au croisement de multiples discriminations, sont plus que jamais victimes de discours haineux. Grandes oubliées des luttes, elles doivent trop souvent renoncer à une partie de leur identité. Ce constat vaut également pour les personnes LGBTQIA+. Le 16 septembre, l’Alliance des femmes de la francophonie canadienne a organisé un forum à Ottawa pour aborder ces défis.
Marine Ernoult – Francopresse
« Il est urgent d’ouvrir le dialogue sur les discriminations, fondées notamment sur le sexe et la langue, dont sont victimes les femmes francophones en situation minoritaire », insiste Nour Enayeh, présidente de l’Alliance des femmes de la francophonie canadienne (AFFC).
La responsable fait référence à ce qui s’appelle l’intersectionnalité en sociologie, une notion forgée par la juriste afro-américaine Kimberlé Crenshaw en 1989. Selon ce concept, la domination est plurielle. L’intersectionnalité tente de mesurer l’impact de discriminations multiples – de sexe, de classe, de race, mais aussi de handicap ou d’orientation sexuelle – qui se croisent et parfois se renforcent.
On sait les discriminations dont les femmes ou les personnes faisant partie de la communauté LGBTQIA+ sont victimes. On étudie celles qui visent les francophones en situation minoritaire. Mais qu’en est-il en particulier des femmes francophones en milieu minoritaire, ou encore des membres de la communauté LGBTQIA+ francophone hors Québec ?
« Alors que les femmes francophones [en situation minoritaire] sont plus que jamais la cible de messages haineux et sexistes, on manque de recherches pour mieux comprendre leur réalité, savoir dans quelle mesure elles subissent plus de discriminations, et comment cela se manifeste », déplore Nour Enayeh, qui évoque également le faible nombre de données sur le profil des hommes, auteurs d’actes malveillants à l’encontre des femmes francophones.
Pendant la pandémie de COVID-19, l’AFCC a reçu un colis contenant un message dans lequel son auteur s’en prenait violemment aux femmes francophones qui « coutent trop cher au gouvernement fédéral ».
Discrimination linguistique, « l’angle mort du régime juridique »
« Il suffit que les femmes prennent la parole publiquement pour faire l’objet de discours haineux en ligne de la part d’hommes, organisés au sein de communautés, désignées sous le nom de manosphère, explique Mélissa Blais, professeure associée au Département des sciences sociales de l’Université du Québec en Outaouais. Il s’agit d’un rappel à l’ordre : elles doivent rester en dehors de l’espace public et se soumettre aux dictats masculins. »
Cette manosphère fait partie de la grande nébuleuse du masculinisme, qui prétend que les luttes féministes auraient provoqué une crise de la masculinité. « Selon les adeptes de ce mouvement, les hommes auraient vu leur place chamboulée. Ils auraient perdu leur identité et leurs repères à cause du modèle alternatif de société défendu par les féministes », explique Mélissa Blais.
Ces masculinistes sont-ils également francophobes? Autrement dit, éprouvent-ils de l’animosité envers tout ce qui est lié au français au Canada, en particulier hors Québec? Mélissa Blais, qui mène actuellement une étude sur le sujet, n’est pas encore capable de le dire.
Seule certitude, aucune loi ne protège les Canadiennes des discriminations liées à la langue. Comme l’explique Anne Levesque, professeure adjointe à la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa, « c’est l’angle mort du régime juridique des droits de la personne ».
Photo : courtoisie
L’avocate regrette par ailleurs que les droits linguistiques ne soient pas analysés avec la lentille de l’intersectionnalité : « Les besoins spécifiques des femmes et la manière dont les politiques peuvent les affecter ne sont pas pris en compte. »
Les grandes oubliées des luttes
Anne Levesque montre du doigt le travail du Commissariat aux langues officielles qui « ignore l’expérience des femmes francophones ou de tout autre groupe marginalisé [en situation minoritaire] », en présumant l’homogénéité de la communauté linguistique. « C’est un point faible des rapports de l’institution : ils abordent uniquement des problèmes du point de vue des hommes blancs hétérosexuels sans handicap », souligne-t-elle.
L’avocate cite en exemple une étude du Commissariat qui porte sur l’insécurité linguistique au travail en situation minoritaire : « Les auteurs n’ont pas regardé si les personnes victimes d’insécurité linguistique étaient davantage des femmes ou des personnes LGBTQIA+ ». Résultat, selon la chercheuse, les structures de pouvoir à l’origine des discriminations systémiques perdurent.
Les femmes francophones sont marginalisées dans un contexte anglophone, qui fait de l’anglais la norme dans les échanges, mais pas seulement. Elles sont mises à l’écart au sein même de leurs communautés, où « le dénigrement de ce qui est féminin » est prégnant, d’après Anne Levesque.
« Le milieu francophone minoritaire s’est tellement concentré sur la défense des droits linguistiques qu’il a oublié toutes les autres communautés dans ses luttes. On accuse aujourd’hui un immense retard sur la situation des femmes et des personnes LGBTQIA+ », considère Zakary-Georges Gagné, responsable de la coordination de l’engagement francophone au sein du réseau pancanadien Enchanté, qui appuie les organismes œuvrant auprès des minorités sexuelles.
Aux yeux de la francophone, non binaire, trans féminine et Crie, le rôle déterminant qu’a joué la religion catholique dans la création et le développement des communautés francophones en milieu minoritaire contribue à ce retard. « C’est la croyance que l’homme doit prendre le pouvoir, assurer la représentation des siens à l’extérieur, et mener les batailles pour les droits », affirme Zakary-Georges Gagné.
« Il y a des attentes sur le rôle traditionnel que les femmes doivent jouer, et la pénurie de services sociaux en français y contribue encore plus, car on compte sur elles pour pallier les manques », ajoute Anne Levesque.
Les femmes et les personnes appartenant à la communauté LGBTQIA+ sont contraintes de choisir entre leur identité de genre et leur identité linguistique. « On ne peut pas me demander de choisir entre être une femme et être francophone. Je suis les deux », s’agace Anne Levesque.
« Les jeunes générations finissent par se détourner de la francophonie et se tourner vers le milieu anglophone, plus inclusif sur les questions de genre », assure Zakary-Georges Gagné. La militante appelle les organismes communautaires en milieu minoritaire à « s’outiller et à s’éduquer sur les pratiques féministes et non blanches » pour éviter une hémorragie de sa jeunesse.
FRANCOPRESSE – Les femmes francophones en situation minoritaire, au croisement de multiples discriminations, sont plus que jamais victimes de discours haineux. Grandes oubliées des luttes, elles doivent trop souvent renoncer à une partie de leur identité. Ce constat vaut également pour les personnes LGBTQIA+. Le 16 septembre, l’Alliance des femmes de la francophonie canadienne a organisé un forum à Ottawa pour aborder ces défis.
Marine Ernoult – Francopresse
« Il est urgent d’ouvrir le dialogue sur les discriminations, fondées notamment sur le sexe et la langue, dont sont victimes les femmes francophones en situation minoritaire », insiste Nour Enayeh, présidente de l’Alliance des femmes de la francophonie canadienne (AFFC).
La responsable fait référence à ce qui s’appelle l’intersectionnalité en sociologie, une notion forgée par la juriste afro-américaine Kimberlé Crenshaw en 1989. Selon ce concept, la domination est plurielle. L’intersectionnalité tente de mesurer l’impact de discriminations multiples – de sexe, de classe, de race, mais aussi de handicap ou d’orientation sexuelle – qui se croisent et parfois se renforcent.
On sait les discriminations dont les femmes ou les personnes faisant partie de la communauté LGBTQIA+ sont victimes. On étudie celles qui visent les francophones en situation minoritaire. Mais qu’en est-il en particulier des femmes francophones en milieu minoritaire, ou encore des membres de la communauté LGBTQIA+ francophone hors Québec ?
« Alors que les femmes francophones [en situation minoritaire] sont plus que jamais la cible de messages haineux et sexistes, on manque de recherches pour mieux comprendre leur réalité, savoir dans quelle mesure elles subissent plus de discriminations, et comment cela se manifeste », déplore Nour Enayeh, qui évoque également le faible nombre de données sur le profil des hommes, auteurs d’actes malveillants à l’encontre des femmes francophones.
Pendant la pandémie de COVID-19, l’AFCC a reçu un colis contenant un message dans lequel son auteur s’en prenait violemment aux femmes francophones qui « coutent trop cher au gouvernement fédéral ».
Discrimination linguistique, « l’angle mort du régime juridique »
« Il suffit que les femmes prennent la parole publiquement pour faire l’objet de discours haineux en ligne de la part d’hommes, organisés au sein de communautés, désignées sous le nom de manosphère, explique Mélissa Blais, professeure associée au Département des sciences sociales de l’Université du Québec en Outaouais. Il s’agit d’un rappel à l’ordre : elles doivent rester en dehors de l’espace public et se soumettre aux dictats masculins. »
Cette manosphère fait partie de la grande nébuleuse du masculinisme, qui prétend que les luttes féministes auraient provoqué une crise de la masculinité. « Selon les adeptes de ce mouvement, les hommes auraient vu leur place chamboulée. Ils auraient perdu leur identité et leurs repères à cause du modèle alternatif de société défendu par les féministes », explique Mélissa Blais.
Ces masculinistes sont-ils également francophobes ? Autrement dit, éprouvent-ils de l’animosité envers tout ce qui est lié au français au Canada, en particulier hors Québec ? Mélissa Blais, qui mène actuellement une étude sur le sujet, n’est pas encore capable de le dire.
Seule certitude, aucune loi ne protège les Canadiennes des discriminations liées à la langue. Comme l’explique Anne Levesque, professeure adjointe à la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa, « c’est l’angle mort du régime juridique des droits de la personne ».
L’avocate regrette par ailleurs que les droits linguistiques ne soient pas analysés avec la lentille de l’intersectionnalité : « Les besoins spécifiques des femmes et la manière dont les politiques peuvent les affecter ne sont pas pris en compte. »
Les grandes oubliées des luttes
Anne Levesque montre du doigt le travail du Commissariat aux langues officielles qui « ignore l’expérience des femmes francophones ou de tout autre groupe marginalisé [en situation minoritaire] », en présumant l’homogénéité de la communauté linguistique. « C’est un point faible des rapports de l’institution : ils abordent uniquement des problèmes du point de vue des hommes blancs hétérosexuels sans handicap », souligne-t-elle.
L’avocate cite en exemple une étude du Commissariat qui porte sur l’insécurité linguistique au travail en situation minoritaire : « Les auteurs n’ont pas regardé si les personnes victimes d’insécurité linguistique étaient davantage des femmes ou des personnes LGBTQIA+ ». Résultat, selon la chercheuse, les structures de pouvoir à l’origine des discriminations systémiques perdurent.
Les femmes francophones sont marginalisées dans un contexte anglophone, qui fait de l’anglais la norme dans les échanges, mais pas seulement. Elles sont mises à l’écart au sein même de leurs communautés, où « le dénigrement de ce qui est féminin » est prégnant, d’après Anne Levesque.
« Le milieu francophone minoritaire s’est tellement concentré sur la défense des droits linguistiques qu’il a oublié toutes les autres communautés dans ses luttes. On accuse aujourd’hui un immense retard sur la situation des femmes et des personnes LGBTQIA+ », considère Zakary-Georges Gagné, responsable de la coordination de l’engagement francophone au sein du réseau pancanadien Enchanté, qui appuie les organismes œuvrant auprès des minorités sexuelles.
Aux yeux de la francophone, non binaire, trans féminine et Crie, le rôle déterminant qu’a joué la religion catholique dans la création et le développement des communautés francophones en milieu minoritaire contribue à ce retard. « C’est la croyance que l’homme doit prendre le pouvoir, assurer la représentation des siens à l’extérieur, et mener les batailles pour les droits », affirme Zakary-Georges Gagné.
« Il y a des attentes sur le rôle traditionnel que les femmes doivent jouer, et la pénurie de services sociaux en français y contribue encore plus, car on compte sur elles pour pallier les manques », ajoute Anne Levesque.
Les femmes et les personnes appartenant à la communauté LGBTQIA+ sont contraintes de choisir entre leur identité de genre et leur identité linguistique. « On ne peut pas me demander de choisir entre être une femme et être francophone. Je suis les deux », s’agace Anne Levesque.
« Les jeunes générations finissent par se détourner de la francophonie et se tourner vers le milieu anglophone, plus inclusif sur les questions de genre », assure Zakary-Georges Gagné. La militante appelle les organismes communautaires en milieu minoritaire à « s’outiller et à s’éduquer sur les pratiques féministes et non blanches » pour éviter une hémorragie de sa jeunesse.
Dans une région « défrichée par et pour les hommes », quelle était la place de la femme ? Kariane Lachance, directrice artistique de Théâtre Mauve Sapin (TMS), explore cette thématique à travers sa nouvelle pièce Coincée dans l’immensité : un récit au sujet du parcours de la femme à Hearst depuis le début de la colonisation jusqu’aux temps modernes.
Pour rédiger son texte, Mme Lachance s’est inspirée de la photographie locale. Avant de sortir son stylo, elle a consulté des images du Centre d’archive de la Grande Zone argileuse de Hearst, question de trouver un peu d’inspiration. Sous ses yeux, elle avait un aperçu du vécu des premières femmes ayant habité le territoire, ce qui lui a bien servi lors du processus de création.
Or, la pièce n’est pas un portrait mettant en lumière des personnages réels du Nord de l’Ontario, mais plutôt une histoire inspirée de l’expérience féminine. « Il ne va pas nécessairement y avoir des faits historiques coulés dans le béton dans le texte, mais c’est un matériau d’inspiration », raconte-t-elle.
La représentation de son oeuvre sera tenue à la Scierie patrimo-niale le 21 mai. Le choix du lieu n’est pas aléatoire. Elle veut faire un lien entre le passé forestier de sa ville natale, soit le coeur de l’économie locale, et le quotidien vraisemblable des femmes d’ici.
Mme Lachance dit qu’elle a le sentiment que le Nord de l’Ontario est parfois stéréotypé comme étant un endroit dur, froid et masculin. La relation entre le territoire et la femme est devenue de plus en plus importante en écrivant. L’artiste a inclus la rencontre de deux personnages : une femme des Maritimes, libre comme l’océan, qui arrive dans la région et un homme originaire de la terre qui cherche à s’enraciner. Sur un coup de tête, les deux vont visiter un chalet dans le Nord de l’Ontario, que l’homme a reçu en héritage. À travers l’histoire, on voit une dualité non seulement entre les deux personnages, mais aussi entre ce qui est enraciné et ce qui est libre. « C’est très métaphorique, pour l’instant ! »
Danser en s’inspirant de clichés
Au début, Kariane Lachance utilisait surtout des textes historiques pour réaliser la pièce. Toutefois, puisque son nouveau projet est un mélange de danse et de théâtre, elle s’est éventuellement tournée vers la photographie pour s’inspirer. « Il y a un aspect visuel qui est très important », dit-elle.
Dans le cadre de sa résidence d’écriture, elle a mis trois mois à écrire des textes qui ont servi de repère pour la choréographie. En vue d’accompagner la pièce, il y aura aussi des environnements sonores adaptés aux textes et aux danses.
L’artiste explique que le public ne verra pas le produit final lors du grand jour, mais bien une « étape de recherche », lui permettant d’avoir un oeil extérieur pour améliorer sa création. « On se donne la permission de ne pas savoir ce que ça va donner », admet-elle.
Elle mentionne que les gens de tout âge sont bienvenus, mais que le projet s’adresse à un public adulte. Elle s’attend à accueillir un petit groupe, soit une trentaine de personnes, pour créer une ambiance plus intime.
Votre choix d’accessoires dignes d’être portés lors d’un souper de Noël ou du jour de l’An est pour le moins limité? Voici une sélection de pièces tendance de l’hiver 2021-2022 qui sauront donner du caractère à toutes vos tenues festives!
FEMMES
• Des bottes blanches;
• Des bottillons garnis de bijoux;
• Des boucles d’oreilles volumineuses à clip;
• Une ceinture à nouer autour de la taille;
• Des chaussures argentées;
• Un sac à main avec bandoulière en chaîne dorée;
• Des mules bordées de fourrure;
• Un collier avec des maillons originaux;
• Un pendentif massif sur un collier fin;
• Une pochette de soirée rectangulaire.
HOMMES
• Des bottillons sans lacets;
• Un petit sac bandoulière;
• Un mouchoir de poche satiné;
• Un chapeau (ex. : bob ou Fedora);
• Des chaussures sport impeccables;
• Une bague en argent;
• Une chaîne imposante aux maillons métalliques;
• Une cravate étroite à motifs;
• Une écharpe colorée et légère;
• Une montre avec bracelet en acier.
Pour dénicher les accessoires vers lesquels convergeront tous les regards pendant vos festivités en famille ou entre amis, visitez vos commerces locaux dès aujourd’hui!