Le gardien de but des Lumberjacks, Kaleb Papineau, a participé au camp de sélection des Spirits de Saginaw qui s’est terminé hier (mercredi 30 aout). À seulement 17 ans, le cerbère originaire de Cochrane compte 23 rencontres d’expérience dans la Ligue de hockey junior A du Nord de l’Ontario et espère être en mesure de forcer la main de l’organisation pour obtenir l’un des deux postes disponibles avec son équipe de l’OHL.
Après avoir joué seulement 12 parties avec les Trappers de North Bay de la Ligue Midget AAA en 2021-2022 alors qu’il était âgé de 16 ans, Kaleb a réussi à attirer assez l’attention pour se faire repêcher par les Spirits de Saginaw en 12e ronde, soit 224e sélection, lors du repêchage de l’OHL 2022. L’année dernière, Kaleb a débuté la saison avec les Rapides de Rivière des Français. Il avait été utilisé dans le cadre de sept rencontres en cinq semaines d’activités. Le problème a ce moment, c’est que la direction de l’équipe avait décidé de débuter la saison avec trois gardiens de but. Insatisfait de son utilisation, il quitte l’équipe pour retourner à Cochrane. Le jeune gardien avait vu de l’action seulement dans le cadre de sept rencontres. Il avait eu la chance d’être devant le filet pour 60 minutes de jeux seulement deux fois alors qu’il était venu en relève du gardien de but partant lors des cinq autres rencontres. Avec les Rapides, il a cumulé une fiche d’une victoire et trois défaites, une moyenne de 5,67 buts alloués par match et un taux d’efficacité à 0,865 %. Après avoir mis de la pression sur la direction des Rapides, Kaleb est libéré en novembre 2022 et peut signer avec n’importe quelle équipe du circuit. L’organisation de Hearst n’a pas laissé passer cette opportunité puisque Matteo Gennaro quittait l’équipe presque au même moment. Les statistiques du cerbère ont été plus éloquentes avec sa nouvelle formation. En saison régulière, il a cumulé une fiche de 13 victoires, une défaite, une moyenne de 1,98 but alloué par match et un taux d’efficacité de 0,929 %.
OHL
À 6,2 et 180 livres, Kaleb a le physique de l’emploi, mais la compétition est forte. D’autant plus que la Ville de Saginaw au Michigan accueillera la prestigieuse compétition de la coupe Memorial en 2024. Puisque l’équipe hôtesse est assurée d’obtenir l’une des quatre places de cette compétition printanière, il n’est pas rare de voir des directions d’équipe hôtesse jouer le tout pour le tout afin d’avoir le meilleur groupe de joueurs possible sur la glace grâce, entre autres, aux transactions. Au niveau des gardiens de but à Saginaw, deux des trois cerbères de la dernière saison ont la possibilité d’être de retour. Le numéro un de la dernière année n’a plus l’âge pour le niveau junior, mais les deux autres ont 19 ans. Andrew Oke a disputé 24 rencontres en 2021-2022 récoltant une moyenne de 3,45 buts alloués par rencontre et un pourcentage d’efficacité à 0,892 %. À 6’02’’ et 195 livres, il risque d’obtenir le poste de partant. Par la suite, Brett Fullerton, qui mesure 6’03’’ et pèse aussi 195 livres, a été devant la cage des siens lors de quatre parties obtenant une moyenne de 5,37 et un taux d’efficacité à 0,798 %.
Sur les 45 joueurs invités à ce camp, il y avait sept gardiens de but. La première étape pour Kaleb était de survivre à ce camp afin d’avoir droit de disputer des parties hors-concours avec l’équipe qui auront lieu cette fin de semaine (au moment de mettre le journal sous presse, nous n’avions pas encore la réponse). Une fois rendu à ce niveau au hockey, il n’y a jamais de poste garanti. Un joueur qui se démarque et se dépasse peut toujours voler le poste d’un autre candidat, et ce, même s’il s’agit d’un vétéran. Lors de la saison 2022-2023, la troupe américaine a terminé en troisième position de la division Ouest qui compte les Spitfires de Windsor, le Sting de Sarnia, les Firebirds de Flint et les Greyhounds de Sault Ste. Marie. Saginaw a terminé la saison avec une fiche de 36 victoires, 27 défaites, trois défaites en prolongation et deux revers en tirs de barrage. Les hommes de l’entraineur-chef Chris Lazary ont baissé pavillon au deuxième tour des séries éliminatoires de fins de saison en quatre parties contre le Sting de Sarnia. Il est possible que le Spirit fasse partie des équipes de tête à la fin du calendrier régulier, puisque 19 vétérans seront de retour avec la troupe
Le Club de tir de Hearst tente de prendre de l’expansion et offrir d’autres attraits pour attirer de nouveaux membres. Le pigeon d’argile arrivera sous peu et on tente toujours de trouver une personne avec les connaissances nécessaires pour installer un espace destiné uniquement au tir à l’arc et à l’arbalète.
Conrad Morin est le président du Club de tir depuis sa création en 2010. Le passionné des armes n’a pu faire autrement que de s’impliquer bénévolement dans ce club. « On a été certifié en 2015 et depuis, ça va très bien. D’année en année, l’achalandage joue entre 40 et 45 membres. »
Ce n’est pas d’hier que le comité exécutif du Club de tir de Hearst cherche une personne pour prendre en charge les armes à flèche. L’emplacement et l’équipement sont disponibles. « Le problème dans ce domaine, on cherche quelqu’un qui s’y connait plus que nous autres. On connait bien les armes à feu, mais les arcs et arbalètes, c’est une autre histoire. »
Le groupe espère également être en mesure de lancer la prochaine saison estivale avec le pigeon d’argile. « Ç’a toujours été dans nos projets. Comme c’est là, on a deux champs de tir, un pour les armes de poing et les petits calibres et l’autre champ de tir est pour les armes d’épaule. Le permis d’utilisation du terrain du ministère des Ressources naturelles est assez grand pour installer les pigeons d’argile. »
Ce sport est même moins contraignant pour les administrateurs que le fusil à épaule. « Quand on fait du pigeon d’argile, la cartouche utilisée est moins forte qu’une cartouche pour le canard, par exemple. Ça va moins loin. Parce que les règlements nous demandent d’avoir une zone de sécurité de 208 mètres comparativement à un champ pour une carabine à épaule qui oblige d’avoir quatre kilomètres de sécurité. »
Le club a également comme projet d’organiser une compétition locale annuelle. Lorsque le pigeon d’argile sera installé et advenant que le terrain pour le tir à l’arc et arbalète soit créé, le club aurait plusieurs possibilités pour la création d’un tournoi local et l’organisation d’un évènement annuel, permettant ainsi de faire connaitre les installations.
Membre
Le port d’arme est de plus en plus règlementé, mais les vrais amateurs se dirigent vers le champ de tir pour pratiquer leur sport en toute sécurité. « Une personne qui souhaite s’inscrire pour être membre doit passer le processus. On n’a jamais refusé personne encore, mais il y a quand même un cours d’orientation spécifique pour notre champ de tir, étant donné que chaque champ de tir est différent. C’est pour s’assurer que l’individu respecte tous les règlements et connaisse bien comment ça fonctionne parce qu’on ne peut pas tirer partout avec n’importe quelle arme », explique le président.
Pour utiliser les installations locales, une personne doit être membre. Avec la carte de membre, elle est assurée, tout comme l’organisation. Le club permet à ses membres d’inviter un maximum de deux personnes. C’est environ 200 $ pour être membre la première année et 150 $ les années suivantes. L’argent amassé sert uniquement à payer les couts d’assurance, la location du terrain et les taxes municipales. L’entretien et la conception du terrain se font de manière bénévole et grâce à des dons de la communauté.
Il n’y a plus de service de taxi depuis maintenant huit mois à Hearst. L’hiver commence, le temps des Fêtes est arrivé et une fois de plus, il n’y aura pas d’Opération Nez rouge et ajoutez à tout ça la pandémie qui semble vouloir revenir faire son tour. Pour l’instant, il n’y a pas vraiment d’espoir de retrouver ce service de sitôt, même pas avec Uber.
Pour compenser la perte du service de taxi, l’Association des transports communautaires de Hearst a allégé les règles de l’autobus communautaire. Pour une somme de 3,50 $, une personne peut faire appel au service d’autobus pour se rendre, entre autres, au travail, à un rendez-vous médical, l’épicerie, la pharmacie, la garderie ou un centre éducatif du lundi au vendredi, de 8 h à 17 h, et le samedi de 9 h à 15 h. À l’extérieur de ces heures, les citoyens doivent s’organiser.
Le maire de Hearst a bien tenté de lancer quelques perches, mais sans succès. « Je pense que l’autobus communautaire est un plasteur sur le bobo. J’ai même été rencontrer le propriétaire du taxi à Kapuskasing à trois reprises, puis la réponse qu’il m’a donnée c’est qu’il aimerait bien être capable de nous desservir, mais c’est le même problème qu’il y a partout ailleurs, on n’a pas de chauffeurs », éclaircit Roger Sigouin.
On est bien loin des deux stations de taxis qui ne fournissaient pas à la demande il y a une vingtaine d’années. La réalité est très différente aujourd’hui et la demande a elle aussi changé. Il ne reste qu’un seul bar en activité et les soirées festives se font beaucoup plus rares. Le nightlife n’est vraiment plus ce qu’il était à Hearst et cette clientèle utilisait grandement le service de taxi.
Aujourd’hui, les entreprises se sont habituées à offrir un transport à leurs employés lors de leurs partys.
Uber
Le service en ligne Uber prend de plus en plus d’ampleur, mais ne semble pas intéressé aux petits marchés comme Hearst. « Malheureusement, j’ai parlé à un représentant d’Uber et c’est eux autres qui décident dans quelle ville ils s’établissent », explique Éric Picard, directeur général de la Ville de Hearst. « Eux autres, ils ont une banque de données qu’ils utilisent et ils aiment se tenir loin des petites municipalités parce que le retour à l’investissement est moins haut. On a mis notre nom sur la liste, mais je ne pense pas que ça ne change rien. »
Le maire lance un appel à tous. Si une personne souhaite se lancer en affaires et démarrer un taxi, des portes pourraient s’ouvrir à la Ville. « Moi, j’encourage cette personne-là à venir s’assoir avec nous autres pour voir comment on peut aider », invite M. Sigouin.
FRANCOPRESSE – L’idée de criminaliser la destruction massive d’écosystèmes progresse. Les responsables des dommages les plus graves à l’environnement pourraient ainsi être poursuivis devant la Cour pénale internationale. Alors que trois députés fédéraux ont récemment appelé Ottawa à s’engager sur la question, le gouvernement entretient le flou sur sa position.
Marine Ernoult – Francopresse
Marée noire, déforestation, pêche industrielle, extraction minière, sables bitumineux ou encore pollution plastique. La liste des actes préjudiciables à l’environnement ne cesse de s’allonger au fil des décennies.
Les dirigeants politiques et économiques, voire les chefs d’État, pourraient-ils être tenus responsables de ces dommages et condamnés par la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye d’ici quelques années ?
+++ Encadré +++
La Cour pénale internationale
La Cour pénale internationale, régie par le Statut de Rome, a été créée en 1998, sous l’impulsion de l’Organisation des Nations unies, dont elle est toutefois indépendante.
Elle est entrée en fonction le 1er juillet 2002, après la ratification du Statut de Rome par 60 pays. Elle réunit aujourd’hui 123 États, dont une majorité de pays africains, l’ensemble des pays de l’Union européenne, le Canada ainsi que la Palestine, dernier pays à en être devenu membre, en 2015.
La CPI s’est donnée pour objectif de « mettre fin à l’impunité des auteurs des crimes les plus graves qui touchent la communauté internationale ». La CPI ne peut poursuivre que des personnes physiques, et non des États.
+++
C’est en tout cas l’ambition affichée par la Fondation néerlandaise Stop Ecocide. En 2021, l’association a réuni sur le sujet douze juristes mondialement réputés qui sont spécialisés en droit de l’environnement et en droit pénal. Le panel d’experts a travaillé durant six mois avant de s’entendre sur une définition internationale du crime d’écocide, qui introduit la notion de responsabilité individuelle.
Photo : Creative Commons, Edward Kimmel
Selon les juristes, l’écocide « désigne des actes illégaux ou arbitraires commis en sachant la réelle probabilité que ces actes causent à l’environnement des dommages graves qui soient étendus ou durables ». Ce texte s’applique aux crimes commis en temps de paix comme en temps de guerre.
« L’élan est là »
« Le comité s’est concentré sur les conséquences potentielles des crimes écologiques, sans en donner d’exemples précis, probablement pour englober des dommages qui n’existent pas encore », explique Lisa Oldring, conseillère juridique et politique au sein de Stop Ecocide Canada, avant d’insister pour ajouter qu’« on veut que notre définition reste pertinente même si les pratiques sont amenées à changer ».
Photo : Courtoisie
La définition a été rédigée à l’attention des 123 États qui adhèrent à la CPI. À l’heure actuelle, les crimes qui tombent sous la juridiction de La Haye figurent précisément dans un traité international baptisé le Statut de Rome.
Stop Ecocide espère que l’un des États signataires déposera un amendement afin de modifier ce document et de faire de l’écocide un crime international au même rang que le génocide, les crimes contre l’humanité, les crimes de guerre et les crimes d’agression.
Huit États ont publiquement exprimé leur intérêt d’amender le statut, dont le Canada. Mais aucun n’a encore franchi le pas.
« Rien ne sera formellement sur la table, tant qu’il n’y aura pas une vague de soutien. Beaucoup de pays sont inquiets à l’idée de modifier les statuts de la CPI. Ils aimeraient que la définition soit clarifiée avant de l’appuyer », analyse Darryl Robinson, professeur à la Faculté de droit de l’Université Queen’s, en Ontario, et ancien conseiller juridique à la CPI.
Photo : Courtoisie
« L’élan est là, mais les États ne veulent pas agir seuls. Ils attendent d’avoir suffisamment de soutien politique et diplomatique », renchérit Lisa Oldring.
Dissuader les pollueurs
À cet égard, la juriste regrette le flou entretenu par le Canada sur sa position : « Il n’y a aucune déclaration publique claire. Le gouvernement fédéral se contente de dire qu’il suit les négociations internationales avec intérêt. » Contacté, le ministère d’Environnement et Changement climatique n’a pas répondu aux demandes d’entrevues de Francopresse.
Photo : Creative Commons, Fonds des archives nationales de l’armée américaine
Cette année, il est déjà trop tard pour qu’un tel amendement soit formellement déposé. L’assemblée générale des États parties au Statut de Rome se tient en effet au début de décembre, et toute proposition de modification statutaire aurait dû être soumise avant le mois de septembre. « Décembre 2023 pourrait être un objectif plus réaliste », estime Lisa Oldring.
Une majorité de l’assemblée générale devra ensuite accepter l’examen de l’amendement. Puis une majorité des deux tiers [soit 82] des États parties, qui disposent chacun d’une voix, devra adopter cet amendement. Chaque État partie pourra enfin le ratifier et devra le faire appliquer sur son propre territoire dans un délai d’un an.
Une clause qui criminaliserait l’écocide permettrait d’interpeler sur son sol tout citoyen étranger soupçonné d’avoir commis un tel acte où que ce soit dans le monde, y compris aux États-Unis, en Chine et dans d’autres États non membres, potentiellement grands pollueurs.
« C’est toujours long d’apporter des modifications à des traités internationaux. Ça va prendre des années, observe Darryl Robinson. C’est très frustrant, car la crise environnementale nécessite des actions urgentes. »
+++ Encadré +++
À défaut de se mettre d’accord au sein de l’Assemblée des États paries au Statut de Rome [qui régit la CPI, NDLR], chaque État a avancé de son côté ces dernières décennies. À ce jour, une dizaine de pays ont criminalisé l’écocide.
Le Vietnam a été le premier à l’inscrire dans son code pénal en 1990 en tant que « crime contre l’humanité commis par destruction de l’environnement, en temps de paix comme en temps de guerre ».
En novembre de cette année, l’écocide a fait son entrée dans le code pénal belge.
Des discussions sont également en cours au Parlement de nombreux pays européens, dont la France.
+++
Cette pénalisation sera-t-elle suffisante pour faire cesser les dommages à l’environnement ?
« Ça ne va pas tout arrêter, mais ça pourrait dissuader les chefs d’entreprise, les gouvernements, mais aussi les financiers et les assureurs, de se lancer dans des projets gravement dommageables aux écosystèmes, croit Lisa Oldring. Ils ne voudront pas voir leur responsabilité personnelle mise en cause. »
« La solution ne repose pas seulement sur les lois criminelles, mais elles sont utiles pour réaffirmer nos valeurs. Ce sont l’une des clés pour sortir de la crise écologique actuelle », poursuit Darryl Robinson.
L’universitaire estime que les dommages environnementaux sont aujourd’hui traités comme une simple « question règlementaire » : « Ce n’est pas pris au sérieux. Les entreprises payent des amendes et disent que ça fait simplement partie de leurs charges. »
À ses yeux, criminaliser l’écocide envoie un message clair aux acteurs économiques et politiques : « Détruire la terre sur laquelle nous vivons est le crime le plus sérieux qui existe. »
+++ Encadré +++
D’où vient le terme « écocide » ?
Le terme est apparu dans les années 1970 pour condamner l’utilisation de l’Agent orange au Vietnam. À l’époque, l’armée américaine a massivement déversé ce défoliant chimique sur le pays, détruisant les forêts et décimant la population.
Par la suite, le mot a été débattu à plusieurs reprises dans les instances internationales. En 1972, lors du Sommet de la Terre à Stockholm, le premier ministre suédois Olof Palme a par exemple fait référence à cette notion.
« La réflexion a commencé il y a plus de 50 ans, mais le concept a été popularisé par l’avocate britannique Polly Higgins dans l’ouvrage Eradicating Ecocide écrit en réaction à l’affaire Deepwater Horizon [explosion d’une plateforme pétrolière de la société BP qui a coulé au large du Mexique en avril 2010] », relève Darryl Robinson.
Photo : Creative Commons, Richard Sullivan
Ces dernières années, le terme a réellement fait son apparition dans les médias, et s’est inscrit à l’ordre du jour politique mondial. En 2019, deux États insulaires, le Vanuatu, dans l’océan Pacifique, et les Maldives, dans l’océan Indien, tous deux menacés par la montée des eaux, ont ainsi exigé une « prise en compte sérieuse » du crime d’écocide.
« Avec l’aggravation de la crise climatique ces dernières années, la question de l’écocide est entrée dans le débat public, il y a une prise de conscience, car les gens font l’expérience du changement climatique au plus près de chez eux », affirme Lisa Oldring.
La rentrée scolaire coïncide souvent avec la prise de possession d’un nouveau casier, notamment au secondaire. Si c’est le cas de votre enfant, voici quatre recommandations pour réussir son organisation.
Misez sur des accessoires robustes : choisir des paniers de rangement solides, par exemple, vous permettra de les réutiliser chaque année — et d’économiser !
Achetez une ou des tablettes : certaines peuvent être suspendues directement à la tablette permanente du casier, et les modèles en tissu contiennent souvent des pochettes supplémentaires sur les côtés pour maximiser le rangement. D’autres tablettes, en métal ou en plastique, se posent dans le bas du casier et permettent d’éloigner les cartables des bottes et des souliers.
Maximisez l’utilisation de la porte : les accessoires magnétiques pratiques ne manquent pas ! Utilisez des paniers pour ranger les crayons et les autres petits objets, et un tableau effaçable ou des aimants pour garder en évidence les notes importantes (rendez-vous, examens, etc.).
Disposez judicieusement les fournitures : classez les cartables de chaque matière en ordre alphabétique afin de pouvoir les retrouver en un coup d’œil et placez les manuels appropriés dans ceux-ci ou à côté pour ne rien oublier avant un cours et gagner du temps.
Visitez les commerces de votre municipalité pour bien vous équiper !
Depuis quelques années, plusieurs familles avec enfants invitent dans leur maison un outil formidable : le planificateur familial. Installé directement sur le réfrigérateur avec des aimants ou fixé au mur d’un endroit névralgique de votre demeure, ce « cousin » du calendrier a de nombreux atouts !
Il est conçu pour toute la famille
Qu’il englobe une seule semaine ou un mois entier, le planificateur familial est pensé pour que chaque membre de la famille puisse y ajouter des informations ou s’y retrouver facilement. Selon les modèles, le planificateur peut inclure des espaces réservés aux tâches des parents et à celles des enfants, tandis que d’autres vous laisseront simplement beaucoup de place pour inscrire des notes et des activités.
Il comporte diverses sections
En plus d’être dotés de cases pour noter les anniversaires, les activités et les rendez-vous, la plupart des planificateurs familiaux contiennent d’autres sections pertinentes au quotidien. Peuvent s’y retrouver, notamment, un emplacement pour les tâches ménagères pour les petits et les grands, une liste d’épicerie, un encadré pour organiser les repas et plus encore.
Il possède des petits « plus »
Selon le modèle choisi, le planificateur familial peut être équipé d’autocollants pour rapidement inscrire les activités au programme, la météo du jour ou les tâches à accomplir (ménage, brossage des dents, etc.). Certains comportent également une section pour un mot ou une citation de la semaine ou pour indiquer comment vos enfants se sentent.
Visitez vos commerces locaux pour dénicher un planificateur qui simplifiera votre quotidien !