Une culture d’entreprise positive met en valeur les forces uniques de chaque membre de l’équipe. Voici donc quatre personnalités typiques en milieu de travail ainsi que des astuces pour mieux les reconnaître et les motiver.
Aimable
Le collègue aimable préfère l’harmonie au conflit. Sa nature amicale crée un sentiment de sécurité émotionnelle. Il peut toutefois devenir passif-agressif en cas de problème, ce qui peut rendre difficile la recherche d’une solution. La gentillesse et l’empathie sont essentielles pour le motiver. Lorsqu’il se sent en sécurité pour exprimer librement ses opinions, vous pouvez obtenir des informations précieuses sur les besoins de l’ensemble du personnel.
Analytique
L’employé analytique est ordonné et aborde ses tâches avec un plan bien établi. Il travaille bien seul et a un grand souci du détail. Il est souvent enclin à l’indécision et peut être trop critique envers les autres, mais il obtient des résultats lorsqu’on lui présente un problème précis et qu’on lui laisse le temps de réfléchir à une solution.
Meneur
Le meneur est un leader énergique. Il s’agit d’un atout, car il abat le travail et enchaîne rapidement avec la tâche suivante. Or, sa grande concentration passe parfois pour un manque d’empathie, ce qui peut démotiver les autres. Il exige peu de motivation externe, mais votre productivité peut s’améliorer si vous lui rappelez la valeur que ses collègues apportent à un projet.
Expressif
L’expressif a l’esprit vif et génère de l’enthousiasme au sein de l’entreprise ou avec les clients et les investisseurs. Un manque d’organisation ou de suivi peut cependant contrebalancer sa créativité et sa sociabilité. Il est donc préférable de l’associer à des personnalités plus axées sur les résultats. Pour exploiter son « super pouvoir », reflétez son entrain et suscitez son intérêt pour les objectifs de l’entreprise.
Besoin d’un coup de main pour mieux motiver votre équipe ? Demandez conseil à un consultant en ressources humaines !
Le nouvel évêque du diocèse de Hearst-Moosonee, Mgr Pierre-Olivier Tremblay, est prêt pour le temps des Fêtes. La semaine dernière, il était invité à l’émission L’info sous la loupe pour se présenter.
Avant d’être nommé évêque du diocèse, le successeur à Mgr Robert Bourgon était évêque auxiliaire à Trois-Rivières. C’est lors d’un voyage à Jérusalem qu’il est informé de sa nomination pour le diocèse nord-ontarien. « Je savais que j’allais être nommé quelque part », dit-il. « Je suis parti à Jérusalem et je visitais les lieux où Jésus a vécu, l’histoire de l’Église, etc., des lieux fascinants, et j’ai reçu un coup de téléphone qui m’annonçait que j’étais nommé à Hearst-Moosonee. » Pour Mgr Tremblay, l’acceptation de cette position s’est faite sans aucun doute.
« Quand je suis arrivé, j’ai senti que ça faisait beaucoup de sens dans mon histoire à moi », déclare-t-il. « Je suis franco-phone, je suis bilingue, pendant cinq ans et demi j’étais à Chibougamau, qui a un climat similaire. »
Affecté à la région depuis le mois d’aout, le nouvel évêque a déjà entamé divers voyages, multipliant ses heures de route, en allant à la rencontre de différentes paroisses comme Geraldton, Moosonee et Attawa-piskat. « Je suis content, je suis en mode de découverte. Je n’étais jamais venu à Hearst, Kapuskasing et Cochrane », indique le missionnaire. « Ce sont toutes des places que je n’avais jamais visitées, alors j’ai commencé à rencontrer les gens. »
Pour Mgr Tremblay, la diversité des communautés est ce qui fait le charme du territoire. Il est fasciné par les multiples réalités qui s’affichent aux abords de la route 11, tout comme avec les différentes communautés autochtones auxquelles il est allé à la rencontre. »
« J’ai rencontré la cheffe de bande d’Attawapiskat, j’ai rencontré le deputy chief à fort Albany », mentionne l’évêque. « J’ai parlé avec eux et je leur ai demandé : “ Qu’est-ce qu’on pourrait faire ensemble ? ” Ils m’ont parlé de réconciliation, du travail à faire. »
Selon l’évêque, il n’est pas là pour travailler pour les Premières Nations, mais plutôt avec eux. Il ne cache pas les atrocités perpétrées par l’Église catholique envers les Autochtones, faisant allusion aux écoles résidentielles, entre autres. Pour lui, il est plus que temps, qu’en tant que société le rapport change. Un changement qui doit commencer par l’écoute, l’accueil et la découverte de la culture autochtone.
L’église désertée par la population
Mgr Pierre-Olivier Tremblay n’est pas étonné par le constat de l’abandon de l’Église par les nouvelles générations. Il se dit conscient que la jeunesse se trouve « ailleurs dans leur rapport à la foi et à la religion ».
« Mon objectif, ce n’est pas de ramener du monde à la messe. Mon objectif, ce n’est pas la survie puis l’avenir de l’Église, mais plutôt qu’est-ce qu’on peut faire dans notre monde, maintenant, et les besoins sont immenses à l’heure actuelle ! »
D’après Mgr Tremblay, être évêque aujourd’hui n’est pas si simple que ça. Il ne voit pas cette nomination comme un titre d’honneur ou de gloire, mais plutôt comme un appel à servir. Étant prêtre depuis l’âge de 28 ans, il a toujours travaillé avec la population, car ce qui l’intéresse c’est comment l’individu peut apporter une valeur de foi, de spiritualité dans des mots, dans des façons de vivre d’aujourd’hui. « Je me dis si je peux apporter un leadership et être présent avec le monde, c’est ce qui m’intéresse. »
Mgr Pierre-Olivier Tremblay présentera trois messes à la cathédrale Notre-Dame à Hearst. Deux célébrations auront lieu le 24 décembre en soirée et la troisième le 25 décembre en matinée.
La Ville de Hearst met en place une politique de déconnexion du travail pour ses employés. À la suite des modifications, en décembre 2001, de la Loi de 2000 sur les normes d’emploi, tous les employeurs de plus de 25 employés sont obligés de mettre en place une politique écrite sur la déconnexion du travail.
Cette nouvelle politique permet à tous les employés de se déconnecter du travail en dehors des heures normales d’ouvrage afin de mieux balancer la vie personnelle et professionnelle. Toutefois, même si la politique interdit de communiquer avec les employés après les heures de travail, une exemption est en vigueur pour les travailleurs qui doivent être disponibles après les heures régulières de travail, selon leur contrat d’emploi ou lors des situations d’urgence.
Depuis quelques années, le marketing de réseaux permet à des gens de partout de se rencontrer virtuellement, et ce, en vendant divers produits et services sur les réseaux sociaux ou des pages Web. De nos jours, nous pouvons nous procurer à peu près n’importe quoi juste en un clic.
Pharmacienne de métier depuis 2015, Émilie Mignault a toujours vécu à Hearst et après avoir fait ses études à l’Université de Montréal en pharmacie elle revient s’établir dans sa ville natale. En couple depuis longtemps avec un homme de la place, ensemble ils fondent une petite famille et travaillent tous les deux à Hearst. Mme Mignault exerçait sa profession à la Pharmacie Novena jusqu’à tout récemment. « Le marketing de réseaux m’a comme ouvert les portes sur l’entrepreneuriat en ligne. J’ai essayé des choses et j’ai vu ce que j’aime et ce que j’aime moins. Je peux aussi travailler à temps partiel même si j’ai une carrière. Le fait de rencontrer des gens et découvrir de nouvelles choses m’a permis de réaliser que c’est correct d’aimer faire plus que ce que j’aime faire », dit-elle.
Émilie a donc choisi d’oeuvrer, à partir de chez elle, en tant que pharmacienne dans un réseau nommé North West Pharmacy Solutions. Cette compagnie s’occupe de fournir les services de pharmaciens à distance pour les hôpitaux qui ne sont pas en mesure d’en recruter dans leur établissement. « C’est certain que le travail est différent que si j’étais sur place, mais je peux quand même faire le travail cli-nique, vérifier les prescriptions des patients et communiquer avec les infirmières et les médecins au besoin. Je travaille présentement pour l’hôpital de Hawkesbury, à Peterborough et à Edmundston au Nouveau-Brunswick », a-t-elle expliqué. De plus, il est possible de s’exprimer en français dans deux de ces trois établissements. Il s’agit d’un élément que les hôpitaux apprécient beaucoup.
Depuis qu’elle travaille à partir de la maison, Émilie peut suivre une formation pour devenir coach de vie en ligne. Pour résumer cette formation, c’est de pouvoir aider les gens avec leur état d’esprit, c’est de la pensée positive, mais dans le sens d’aller chercher à l’intérieur de soi-même ce que nous voulons vraiment. « J’aimerais pouvoir aider une personne à trouver ce qu’elle veut faire et où elle désire se rendre avec son objectif, et briser les pensées limitantes qui l’empêchaient d’avancer », dit-elle. Tout son apprentissage se fait en ligne et ce n’est pas de l’école traditionnelle. Émilie souhaite accompagner des femmes de partout, qui sont autour de la trentaine et francophones. Peut-être que son groupe évoluera avec le temps vers le marché anglophone.
Émilie Mignault espère que son entreprise sera aussi prospère qu’elle l’imagine et un jour, même, écrire un livre ! À suivre…
Ces ateliers en mode hybride seront dédiés aux nouveaux arrivants francophones dans la région, incluant les nouveaux immigrants au Canada. Cela inclut les francophones provenant d’autres régions de la province ou du pays.
Partenariat avec l’AFRY
La SÉO travaillera en partenariat avec l’Association des francophones de la région de York (AFRY).
« Ce partenariat novateur nous permet d’atteindre une nouvelle clientèle francophone en pleine croissance dans la région de York », explique la gestionnaire, Services Emploi et Immigration de la SÉO à Toronto, Aïssatou Sonko.
Aïssatou Sonko
Photo : courtoisie
« Nos Services Emploi et Immigration se veulent complémentaires aux services déjà offerts par l’AFRY en matière d’aide à l’établissement pour les francophones qui s’installent dans la région (recherche de logement, d’écoles, de services en santé et communautaires). »
Opportunités d’embauche
« Ces ateliers porteront entre autres sur l’auto-évaluation des compétences du programme Employabilité et Immigration. »
« Les membres de l’AFRY pourront également bénéficier de nos programmes complémentaires Proaction et CariELLES », précise Aïssatou Sonko.
« Nos programmes permettant d’offrir des opportunités d’embauche sont particulièrement d’intérêt pour les francophones nouvellement établis dans la région de York dont la priorité est de trouver un emploi rapidement. »
« D’autres activités seront éventuellement conçues en fonction des besoins spécifiques des clients que nous accompagnerons. »
Première priorité: trouver un emploi
« Le mandat de la SÉO rejoint la mission de l’AFRY », indique le directeur général de l’AFRY, Jean Grenier Godard.
Jean Grenier Godard
Photo : courtoisie
« La SÉO possède des compétences dont les nouveaux membres de notre Association ont besoin pour combler leur première priorité: trouver un emploi »
« L’AFRY représente une clientèle francophone peu connue de la SÉO », ajoute M. Grenier Godard.
« Notre partenariat permettra de renseigner la SÉO concernant notre communauté grandissante, tout en offrant des services à l’emploi faits sur mesure pour nos membres. »
« La population francophone de York a doublé ces dernières années », rapporte M. Grenier Godard.
Le coût de la vie, devenu très élevé dans les centres urbains, comme dans le Grand Toronto, inciterait de plus en plus de francophones de l’Ontario et d’ailleurs à s’installer dans la région de York.
Plusieurs défis distincts dans l’emploi
« Les obstacles à l’employabilité restent pourtant bien réels pour les francophones vivant dans la région », selon le DG de l’AFRY.
« Les défis culturels… Le manque de connaissance du système d’employabilité canadien… Les compétences langagières pour les nouveaux immigrants… La non-reconnaissance de certains diplômes entre les provinces pour les migrants (par exemple le programme d’Éducation en Services à l’Enfance entre l’Ontario et le Québec)… »
L’AFRY compte sur l’expertise de la SÉO afin de répondre aux multiples besoins de sa communauté francophone en matière de recherche d’emploi:
Accompagnement personnalisé.
Mentorat.
Démarrage d’entreprise.
Jumelage avec les employeurs potentiels.
Aiguillage vers les ressources pertinentes (ex. cours de langue, programmes de formation pour adultes).
Miser sur les partenariats
« Prioriser l’intégration économique des francophones passe par la concrétisation de partenariats stratégiques », confirme M. Grenier Godard.
« Afin de faciliter le réseautage, et favoriser les échanges de compétences, d’informations et de ressources. »
Julien Cayouette – IJL – Réseau.Presse – Le Voyageur
Dans une étude menée par Orale Research pour le compte du SCFP, 60 % des répondants du Nord de l’Ontario ont rapporté avoir été victimes de violence physique commise par des patients; 65 % ont constaté une augmentation des incidents violents pendant la pandémie.
Photos : Initiative de journalisme locale
Le Nord de l’Ontario a vu la plus grande augmentation d’actes violents avec des armes; 28 % alors que c’est 18 % ailleurs en province. Dans l’Est, la discrimination a connu la plus forte augmentation en raison de la race qui a le plus augmenté. «Plus souvent, c’est avec des couteaux. Mais il y eu des incidents avec des fusils», rapporte la vice-présidente francophone du SCFP, Mélanie Viau, qui travaille aussi à l’Hôpital Montfort.
Photo : Julien Cayouette
Les constats ne se limitent pas à la violence physique. Cinquante-quatre pour cent des répondants disent être victimes de violence verbale — comme des insultes ou de l’intimidation — au moins une fois par semaine ou quotidiennement. Des situations de harcèlement sexuel se produisent à la même fréquence pour 26 % des répondants et les agressions sexuelles de nature physique pour 13 % d’entre eux.
Les travailleurs racisés sont aussi affectés autrement. Cinquante-neuf pour cent disent subir du harcèlement ou de l’abus en lien avec leur ethnicité au moins une fois par semaine ou quotidiennement.
Le sondage a été mené du 17 au 24 mai auprès de 239 infirmières et infirmiers auxiliaires autorités.es, préposés aux services de soutien à la personne de préposés au nettoyage et du personnel administratif du Nord de l’Ontario. De ceux-ci, 91 % sont des femmes. À la grandeur de l’Ontario, 2300 personnes y ont participé.
Il s’agit de la première étude sur le sujet dans les rangs du SCFP, alors il n’y a pas de point de comparaison, mais les représentants du syndicat affirment qu’ils discutent de la situation avec le gouvernement depuis une dizaine d’années.
Jamais de bonnes raisons, mais il y en a une
Le SCFP comprend le niveau de frustration des patients. Avec la pénurie de personnel et de lits dans les hôpitaux, le temps pour recevoir des soins est plus long. Leur patience et leur empathie sont mises à rude épreuve, mais le personnel ne peut pas en faire davantage. Ces actes restent inacceptables.
La solution passe donc par un meilleur financement du système de santé selon le syndicat. « Nous avons des équipes squelettiques et le personnel travaille parfois seul dans des conditions où ils sont très vulnérables aux attaques », affirme la représentante du Conseil des syndicats d’hôpitaux de l’Ontario (CSHO) au sein du SCFP, Sharon Richer.
Photo : Julien Cayouette
« Qu’on l’accepte ou non, la société canadienne a un niveau de tolérance élevé face à la violence contre les femmes et contre le niveau malsain de racisme qui s’infiltre dans les établissements de soins de santé », ajoute Sharon Richer.
S’ajoutent à cette impatience les personnes intoxiquées.
Horizon Santé Nord a récemment annoncé qu’ils allaient embaucher plus de gardiens de sécurité. Une décision félicitée par SCFP.
La culture doit changer
Le système de santé de l’Ontario est en mauvais état et ce sondage démontre que la santé mentale de ses travailleurs est à risque. Soixante-quatorze pour cent des répondants affirment être anxieux ou extrêmement anxieux face à leurs conditions de travail.
« L’impact sur la santé mentale que dévoile le sondage est une bonne explication du nombre de travailleurs qui quittent le milieu de la santé de l’Ontario », indique Mélanie Viau. « Nous sommes ici pour demander que les directions des hôpitaux, le premier ministre et le ministre de la Santé cessent d’ignorer le problème et protègent nos travailleuses. »
« Les administrateurs ne priorisent pas la sécurité du personnel », souligne Sharon Richer. Ceux qui tentent de rapporter des abus se font parfois demander : « qu’est-ce que tu as fait pour le provoquer », au lieu d’être traité comme des victimes. Pour cette raison, ils appuient le projet de loi présenté deux fois par la députée de Nickel Belt, France Gélinas, qui vise à protéger les lanceurs d’alertes.
Les assauts physiques peuvent parfois mener à des blessures graves qui empêchent les gens de travailler. Mme Richer rapporte que, malgré les preuves et les témoins, les hôpitaux contestent trop souvent les demandes faites par les travailleurs auprès de WSIB. Une autre situation qui doit changer.
« Nos droits en tant que citoyens ne s’arrêtent pas quand on entre dans l’hôpital », illustre le président régional du CSHO, Dave Tremblay. Il croit qu’il recevrait plus d’aide de la police et des autorités s’il était attaqué dans la rue. « On blâme parfois la personne qui a été attaquée. »
Soulignons le travail indispensable de ces êtres d’exception !
La Journée des préposés aux bénéficiaires, qui a lieu le 19 mai 2022, a pour objectif de souligner le rôle important de ces personnes polyvalentes, travaillantes et dévouées. La Fédération de la santé et des services sociaux profite de cette journée spéciale pour valoriser la profession et entreprendre diverses actions afin qu’elle obtienne la reconnaissance qu’elle mérite.
Du personnel attentionné
Les préposés aux bénéficiaires (PAB) jouent un rôle prioritaire au sein du réseau de la santé. Chaque jour, ils veillent à établir une relation de confiance auprès de leurs patients et de leurs usagers. Ils s’assurent de leur prodiguer les soins de bases adéquats et travaillent en étroite collaboration avec le personnel infirmier pour que les interventions soient adaptées dans le respect de l’intégrité et de la dignité de chacun.
Les préposés sont également les « yeux » et les « oreilles » du personnel médical. Ils ont à cœur le bien-être des personnes vulnérables et assistent quotidiennement aux victoires et aux difficultés des usagers en perte d’autonomie qu’ils aident. Leur sens de l’observation aiguisé leur permet d’aller au-devant des besoins des patients.
Des qualités incontournables
Les PAB sont des personnes qui aiment le contact avec le public, travailler en équipe et aider les gens. En plus d’avoir une bonne santé physique et mentale, les préposés doivent faire preuve de respect, avoir un sens de l’éthique exemplaire et être autonomes. Leur patience et leur douceur sont des qualités essentielles qui permettent aux usagers de se sentir bien. Les PAB font un travail dont l’utilité n’est plus à démontrer où la reconnaissance des patients et de leurs proches est une source importante de gratification.