Si vous tombez malade ou devenez invalide, vous pourriez être dans l’incapacité de prendre vous-même les décisions concernant vos soins de santé, vos finances, etc. C’est pourquoi la planification préalable est essentielle. Voici quelques conseils pour vous préparer à une urgence médicale.
Voyez-y dès maintenant
N’attendez pas pour parler de vos souhaits à vos proches : ayez ces discussions pendant qu’ils peuvent vous aider à prendre des décisions. Désignez un mandataire (procuration, mandat d’inaptitude), puis assurez-vous qu’il accepte son rôle et connaît vos directives.
Rassemblez vos documents
Rangez au même endroit tous vos documents importants : testament, fiducies, directives en matière de soins de santé, dossiers financiers et coordonnées pertinentes (avocat, médecin, conseiller financier, etc.). Indiquez ensuite à une personne de confiance où les trouver.
Mettez vos dossiers à jour
Une fois par an et chaque fois que vous vivez un changement important (ex. : déménagement), passez en revue vos documents et effectuez les mises à jour nécessaires.
Prenez vos dispositions
Donnez à votre médecin et à votre avocat l’autorisation de parler à un aidant désigné en cas d’urgence. Faites aussi le nécessaire auprès de votre institution financière pour qu’une personne de confiance ait accès à votre coffre-fort, par exemple.
Planifiez vos funérailles
Faites vos arrangements funéraires préalables afin de réduire le fardeau (émotionnel et financier) de vos proches.
Même si vous n’êtes pas malade en ce moment, il est essentiel de rassembler le plus d’informations possible et de bien vous préparer pour faciliter la vie de tous en cas d’urgence — et veiller à ce que vos volontés soient respectées !
Marguerite Beaupré travaille d’arrachepied pour lancer une Fondation qui permettrait d’offrir un coup de main financier ou un moyen de transport aux personnes atteintes d’un cancer qui doivent se déplacer, entre autres, vers Sudbury pour obtenir des soins.
La bénévole caresse le rêve de démarrer une telle fondation à la suite de témoignages poignants. « Ça fait quatre ans que j’ai décidé ça, mais entretemps j’ai eu le cancer et ç’a comme tout retardé ! Avec tout ce que j’ai vu, ça m’a affecté et ma famille est pratiquement toute prise du cancer, donc c’est pour ça que je veux lancer une fondation pour le cancer à Hearst », a-t-elle mentionné avec émotion devant les membres du conseil municipal lors de la rencontre cette semaine.
Cette femme de coeur a été choquée d’apprendre que des demandes de personnes d’ici avaient été refusées par la Société du cancer de Timmins. Pour elle, il serait préférable de recueillir les dons ici pour le monde d’ici. L’initiatrice du projet espère couvrir une bonne partie de la région de Moonbean à Moosonee. Les fonds recueillis serviraient uniquement à aider les personnes des environs qui sont dans l’obligation de suivre des traitements pour le cancer à l’extérieur de la région.
Elle indique avoir un coup de main du fondateur de la Fondation du cancer de Sudbury afin d’être en règle. Actuellement, elle travaille à enregistrer la nouvelle fondation auprès de Revenu Canada dans le but de remettre des reçus pour fin d’impôts aux donateurs.
Selon Mme Beaupré, le transport pour l’obtention de traitements à l’extérieur de la région cause des problèmes à plusieurs personnes malades. « Il y a un monsieur d’Opasatika qui, dernièrement, devait aller faire des traitements à Sudbury, mais sa voiture était trop vieille et lui était trop vieux pour prendre l’autobus ou quelque chose comme ça. Une autre, c’est une femme avec deux enfants. Elle a été obligée de faire garder ses deux enfants, prendre le bus et une fois à Sudbury, elle n’a pas de voiture, qu’est-ce qu’elle fait ? Donc, il faut qu’elle prenne le taxi et on sait très bien que le travel grant ne paie pas tout ! »
Le projet implique également de mettre la main sur un véhicule et trouver des chauffeurs à condition que les primes d’assurances ne soient pas exorbitantes. Et, elle demande à la Ville un emplacement pour un bureau, question d’avoir un pied à terre.
Mme Beaupré espère être en mesure de lancer sa campagne de financement le plus rapidement possible, mais elle doit d’abord attendre l’approbation de Revenu Canada.
Un autre médecin quittera sa pratique à Hearst au cours des prochains mois. Dre Nicole Ranger a annoncé son départ à l’Équipe de santé familiale Nord-Aski. Elle prendra des rendez-vous jusqu’au 24 février 2023, mais après ce sera terminé.
Près de la moitié de la population de Hearst est déjà sans médecin de famille, et voilà qu’environ 1000 autres citoyens deviendront orphelins de médecin.
Originaire de Sudbury, Dre Ranger retourne dans son patelin pour poursuivre sa pratique.
Actuellement, six omnipraticiens tentent de sauver les meubles dans la communauté et ils ne se retrouveront que cinq en février prochain.
L’équipe médicale locale est déjà épuisée, ce qui devient très dangereux pour le personnel en place.
La direction de l’Hôpital Notre-Dame de Hearst ne cache pas que l’urgence passe très près d’être fermée à tout moment. Une telle nouvelle n’a rien pour rassurer la population qui se soucie grandement de cette situation.
Dans un communiqué publié par l’Équipe de santé familiale Nord-Aski, il est écrit que tous les patients de Dre Ranger recevront une lettre individuelle au cours des prochaines semaines afin de leur fournir des renseignements concernant les étapes à venir.
De la relève
La bonne nouvelle est qu’une Hearstéenne complètera ses études en médecine au prin-temps prochain et a officialisé qu’elle viendra porter mainforte à l’équipe en place.
Dre Shyanne Fournier ouvrira sa pratique dès que sa licence sera activée. L’équipe espère qu’en juillet elle sera en mesure d’avoir tous les documents légaux pour débuter.
Pour l’instant, le comité de recrutement déploie beaucoup d’efforts pour trouver de nouveaux médecins. Les démarches n’ont cependant pas porté fruit.
À défaut de trouver des médecins permanents, il semble que le recrutement de médecins temporaires (locum) est plus concluant. Plusieurs noms seraient sur la liste de la direction.
L’exfoliation élimine les cellules mortes et les impuretés qui s’accumulent sur la peau. Effectuée correctement, elle favorise, entre autres, le renouvellement cellulaire et permet aux soins de pénétrer en profondeur. Pour obtenir une peau saine et éclatante, découvrez à quel moment et comment il vous faut veiller à son exfoliation !
Quand ?
La fréquence d’exfoliation varie principalement selon la zone traitée, soit le visage ou le corps. La fragilité de la peau et son irritabilité peuvent également entrer en ligne de compte. Voici, en règle générale, quand procéder pour chacune de ces zones :
Le visage : deux ou trois fois par semaine maximum, exfoliez votre visage après l’avoir adéquatement nettoyé et avant d’y appliquer votre crème hydratante.
Le corps : utilisez votre produit ou votre accessoire exfoliant sous la douche, car la chaleur contribue à ouvrir les pores et permet l’obtention de meilleurs résultats. Réalisez une exfoliation complète du corps une fois par semaine.
Dans les deux cas, vous gagnez à exfolier votre peau en soirée, puisque celle-ci aura toute la nuit pour se régénérer. Les rougeurs, le cas échéant, pourront aussi s’estomper.
Comment ?
Si vous optez pour un produit contenant de minuscules particules rugueuses ou un accessoire exfoliant (ex. : éponge luffa ou gant de toilette), la technique à employer consiste à effectuer de petits mouvements circulaires et en douceur sur les zones à traiter. Si vous usez plutôt d’un soin chimique (comprenant des ingrédients acides), il vous faut laisser agir celui-ci sur votre peau quelques minutes avant de le rincer.
Quelle que soit la méthode choisie, retenez que les produits conçus pour le corps ne doivent pas être utilisés pour la peau fragile du visage.
Demandez conseil à votre cosméticienne ou à votre esthéticienne afin de sélectionner l’exfoliant qui correspond le mieux à votre type de peau et à vos besoins !
Discrets et aventureux, les chats de ferme (ou de grange) sont présents sur bien des sites agricoles au Québec. Apprenez-en plus sur ces petits « employés » à quatre pattes grâce aux trois questions suivantes !
Quel est le profil type des chats de ferme ?
Les chats de ferme sont des animaux qui sont généralement incapables de s’adapter à la vie dans un foyer. Très actifs, souvent peu sociables avec les humains ou encore craintifs en leur présence, ils bénéficient de l’environnement d’une ferme ou d’une écurie pour s’épanouir. Il s’agit principalement de bêtes habituées à ce type de milieu ou qui ont toujours vécu dehors.
Quelles sont leurs responsabilités ?
En plus d’offrir une certaine compagnie aux travailleurs et aux autres animaux, ces petits félins sont les alliés idéaux pour contrôler les problèmes de vermine et en réguler la population grâce à leurs habiletés pour la chasse.
Comment en prendre soin ?
Comme les bêtes domestiques et d’élevage non destinées à la reproduction, les chats de ferme doivent être stérilisés. Des soins vétérinaires annuels (vaccins, vermifuges, etc.) sont également à prévoir. Enfin, les propriétaires de ces chats doivent leur fournir de la nourriture (les proies ne sont pas toujours au rendez-vous !), de l’eau et un abri sécuritaire pour se protéger des intempéries.
Les personnes diabétiques produisent trop peu ou pas du tout d’insuline ou bien ne réagissent pas normalement à celle-ci. Cette hormone, fabriquée par le pancréas, permet au glucose qui circule dans le sang de se rendre aux différentes cellules du corps. Apprenez-en plus sur les trois principaux types de diabète :
Type 1
Apparaissant entre l’enfance et le début de l’âge adulte, ce diabète se caractérise par un manque complet d’insuline ou par une incapacité pour le corps à l’utiliser adéquatement. Le glucose est ainsi dans l’impossibilité de pénétrer les cellules du corps, et sa présence croissante dans le sang provoque de l’hyperglycémie. Des soins quotidiens sont indispensables pour assurer la survie de la personne atteinte.
Type 2
Cette forme plus fréquente de diabète (environ 90 % des cas) se manifeste majoritairement à l’âge adulte. Les personnes qui en souffrent produisent peu d’insuline ou celle-ci n’est pas suffisamment efficace. Comme le taux de sucre augmente dans le sang, le mode de vie (alimentation et exercice) doit être adapté et des traitements médicaux peuvent être prescrits.
Gestationnel
Le diabète gestationnel affecte certaines femmes et leur bébé lors du deuxième ou du troisième trimestre de la grossesse. Essentiellement sans symptômes, ce diabète disparaît habituellement après l’accouchement, mais peut augmenter les risques de développer un diabète de type 2 par la suite.
Consultez votre médecin ou votre pharmacien pour obtenir plus d’information et des conseils adaptés à votre situation !
En 2020, l’Université de Sherbrooke faisait état d’une étude menée par cinq de ses professeurs, qui démontrait que les Canadiens étaient trois fois plus anxieux qu’avant la pandémie. Idem pour les troubles du comportement alimentaire (TCA) comme l’anorexie ou la boulimie. Radio-Canada rapportait en 2021 que les consultations aux urgences avaient progressé de 50 % au Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario (CHEO) concernant cette maladie mentale.
Dans les approches non traditionnelles, certaines initiatives comme la thérapie par le plein air aident à soulager ces maux. Un organisme comme Parents partenaires en éducation, le réseau de parents francophones en Ontario en fait d’ailleurs la promotion sur son site. Au Québec, l’OSBL la Croisière des Alizés propose des séjours en voilier aux jeunes filles souffrant de TCA, encadrées par des intervenantes du milieu.
Pour sa part, comme l’explique Martin Sauvé, gestionnaire en communications à l’Hôpital Montfort, à propos du récent Carrefour santé d’Orléans, celui-ci « regroupe une gamme de services spécialisés et communautaires sous un même toit, et à proximité, pour la communauté de la région. Les partenaires du Carrefour travaillent ensemble pour offrir des soins et services complémentaires, des enfants jusqu’aux ainés. »
Parmi les soins proposés au Carrefour, les personnes souffrant d’un problème de santé mentale peuvent y trouver leur compte par l’offre de divers services tels que de la thérapie, des évaluations et des traitements offerts par des professionnels de la santé. En ce qui concerne les partenaires de Montfort au sein du Carrefour, se retrouvent notamment le Bureau des services à la jeunesse, les Services communautaires de gérontopsychiatrie d’Ottawa, Bruyère et CHEO, qui offrent aussi des services en santé mentale.
Quant à la question de savoir si les soins en santé mentale sont vraiment accessibles ou si le personnel est suffisant, Martin Sauvé est plus réservé. S’il admet que les services ambulatoires dans ce domaine comme dans d’autres secteurs connaissent un certain ralentissement estival, en ce qui concerne la globalité de la question, « nous ne sommes pas en mesure de commenter l’accessibilité aux services de santé mentale dans leur ensemble, la question étant bien plus large qu’une seule organisation. »
Du côté du privé
Mise sur pied en 2017, l’ESPO compte actuellement 13 membres actives, incluant le personnel de soutien. Les psychologues sur place offrent des services cliniques (intervention et évaluation) aux enfants, adolescents, adultes, personnes âgées et couples. De plus, la Dre Marie-Pier LeClerc estime qu’elle et ses collègues croient « que l’accès aux services en santé mentale est un droit fondamental et nous travaillons à faire notre part pour y faciliter l’accès. »
Marie-Pier LeClerc
Photo : gracieuseté ESPO
Pourtant, force est de constater que les besoins en santé mentale sont tellement grands qu’ils ont forcé les membres de la clinique à cesser de prendre de nouveaux patients. La psychologue l’avoue : « Notre clinique n’est pas épargnée par cet achalandage. Nous avons dû prendre la décision difficile durant la pandémie de fermer notre liste d’attente afin d’offrir un délai plus réaliste et raisonnable aux gens sur la liste et limiter un délai d’attente de plus d’un an. »
Non seulement l’ESPO offre des services en santé mentale, mais la clinique privée est aussi engagée sur le plan communautaire. C’est pourquoi elle a notamment tissé des liens avec les réseaux en immigration francophone (RIFO) de l’Ontario et Boxia Partage dans le cadre d’une campagne contre le racisme en produisant une bande dessinée et des capsules vidéo sensibilisant les gens aux phénomènes de la fragilité blanche et des privilèges blancs. Ce volet militant permet d’être encore plus au fait des besoins en santé mentale.
Si, pour Marie-Pier LeClerc, « les services sont encore plus difficiles à accéder qu’auparavant », cela est dû à plusieurs facteurs, dont une plus grande demande suscitée par les impacts de la pandémie «sur le bien-être émotionnel et relationnel de tous et de toutes» comme le souligne la psychologue. Selon elle, « une reconnaissance limitée de la profession et une sous-valorisation de la santé mentale demeurent présentes et rendent l’accès aux services difficiles. » Enfin, au sous-financement public en santé mentale et en l’absence d’un régime public d’assurance pour la santé mentale s’ajoute « une pénurie de services francophones en santé mentale auprès des familles, enfants et adolescents. » Un cocktail pour le moins indigeste.
Équipe ESPO
Photo : gracieuseté ESPO.
Photo principale : gracieuseté du Carrefour santé d’Orléans
Pendant ce temps, la ministre de la Santé de l’Ontario tente d’accélérer le processus pour l’arrivée dans les hôpitaux d’infirmières formées à l’étranger. Il s’agit d’une solution fiable à court terme pour contrer la pandémie de travailleurs de la santé.
Sylvia Jones a indiqué que le gouvernement mettra en place des « mesures supplémentaires » pour renforcer les capacités du réseau. Elle a spécifiquement souligné l’arriéré de travailleurs de la santé formés à l’étranger qui attendent une certification pour oeuvrer en province.
Environ 25 hôpitaux de l’Ontario ont été contraints de réduire leurs services pendant la fin de semaine du congé civique en raison d’une pénurie de personnel, selon les affirmations d’un syndicat provincial qui représente les infirmières.
L’Hôpital Notre-Dame de Hearst avait dernièrement mentionné que des problèmes similaires pouvaient avoir lieu en aout, mais pour l’instant rien n’indique que l’urgence fermera temporairement.
Mme Cathryn Hoy, présidente provinciale de l’Association des infirmières et infirmiers de l’Ontario, a déclaré que les hôpitaux ont dû fermer certaines unités, réduire le nombre de lits disponibles ou rediriger des patients vers d’autres établissements. Un désastre, a-t-elle mentionné, craignant que les pénuries de personnel constatées dans les hôpitaux de la province pendant la fin de semaine ne feront qu’empirer.
Le gouvernement Ford a annoncé mardi que des infirmières formées ailleurs qu’au Canada pourront travailler dans les hôpitaux et les foyers de soins de longue durée de l’Ontario.
La ministre de la Santé Christine Elliott et le PDG de Santé Ontario Matthew Anderson en ont fait l’annonce en point de presse, mardi.
Christine Elliott a fait savoir qu’à peu près 1200 personnes ont déjà fait part de leur intérêt au gouvernement ontarien.
Environ 300 infirmières formées à l’extérieur du pays seraient déjà prêtes à être déployées dans une cinquantaine d’hôpitaux de la province.
Cette semaine
Le jumelage avec les fournisseurs de soins de santé devrait commencer plus tard cette semaine et l’intégration du nouveau personnel, dans les semaines à venir.
Ces travailleurs de la santé formés à l’étranger travailleront « sous la supervision d’un fournisseur de soins de santé réglementée, comme une infirmière ou un infirmier autorisé ou un médecin », apprend-on dans un communiqué.
Les infirmières qui ont reçu leur formation à l’étranger et qui obtiennent leur permis de l’Ordre des infirmières et infirmiers de l’Ontario (Oiio) grâce à ce programme pourront garder leur permis de façon permanente, a laissé savoir Matthew Anderson.
Des étudiants en soins infirmiers et en médecine seront aussi déployés dans les établissements de santé de la province et pourront aller travailler plus tôt que prévu.
Les partis d’opposition demandaient au gouvernement ontarien de permettre aux travailleurs de la santé provenant de l’international de travailler en Ontario depuis le début de la pandémie.
« Je suis content de voir que ça va enfin arriver, mais on n’aurait pas dû attendre à ce que les hôpitaux soient saturés. »
— Steven Del Duca, chef du Parti libéral de l’Ontario
Crise
Le système de la santé de l’Ontario est actuellement aux prises avec un grand nombre de membres du personnel en congé de maladie parce qu’ils ressentent des symptômes de la COVID-19.
La province a rétabli la « Directive 2 » pour les hôpitaux et les professionnels de la santé, qui force l’arrêt temporaire de toutes les interventions chirurgicales et procédures non émergentes et non urgentes, « afin de préserver les soins essentiels et la capacité des ressources humaines ».
La ministre Elliott a soutenu que la province s’attend à ce que les hospitalisations liées à la COVID-19 culminent au cours de la troisième ou de la quatrième semaine de janvier, et que les admissions aux soins intensifs culmineront quant à elles au cours des deux premières semaines de février.
Matthew Anderson a souligné que le taux d’augmentation des hospitalisations en Ontario semble ralentir.
Selon la santé publique, la durée des séjours en unités de soins intensifs causés par le variant Omicron serait plus courte que ceux causés par le variant Delta.