L’équipe du Service des incendies de la Ville de Hearst a presque pourvu tous les postes de pompiers volontaires. Sur un objectif de 30 membres, l’ajout de trois nouveaux pompiers volontaires amènera le total à 28 sapeurs. Kristopher Rotar, Dillon Chouinard et Rock Moreau ont été sélectionnés et approuvés lors de la dernière rencontre du conseil municipal afin de remplir les fonctions.
Le programme de Vélo sans âge du Foyer des Pionniers à Hearst est l’initiative de Maureen Aubertin qui travaille au département des activités. Pour elle, c’est important de faire bouger les résidents et de leur faire profiter de la vie, peu importe leur âge, leurs restrictions et leur mobilité. C’est dans cette optique qu’elle a entrepris des recherches afin de trouver un moyen de transport sécuritaire avec lequel elle pourrait donner des tours aux résidents. Ses recherches l’ont menée au projet « Vélo sans âge » initié au Danemark en 2012 dans un centre pour personnes âgées. Le concept est simple : un triporteur permettant aux résidents de sortir pour prendre de l’air.
Le cout de ce vélo était élevé, mais la patronne de Maureen lui avait donné le feu vert à condition qu’elle ait la charge de tout le projet, de A à Z. « J’ai vraiment pris ça à cœur, j’étais vraiment contente. J’ai commencé à envoyer des lettres et faire du porte-à-porte pour financer le premier vélo. Ensuite, je me suis dit que ça serait bien d’en avoir un pour les personnes qui circulent en fauteuil roulant, parce qu’ici, la plupart des gens sont en fauteuil roulant. J’ai donc recommencé mes recherches et j’ai trouvé une autre version, le VéloPlus, spécialement faite pour les fauteuils roulants. Ce vélo a été entièrement financé par la Caisse Alliance », nous explique-t-elle. Les vélos sont munis d’un petit moteur qui aide la personne qui pédale au fur et à mesure que le vélo avance. Selon Maureen, ce n’est pas difficile de pédaler malgré le poids qui est transporté grâce à ce mécanisme.
Depuis la fin de l’été 2022, les vélos sont disponibles au Foyer des Pionniers. Pour cette saison estivale, le but ultime serait de permettre aux résidents qui désirent faire une promenade de le faire le plus souvent possible, lorsque la température le permet. Pour ce faire, l’aide de bénévoles est cruciale ; les employés du département d’activités font ce qu’ils peuvent pour répondre à la demande, mais ce n’est pas suffisant.
Ils sont activement à la recherche de bénévoles et Mme Aubertin dit que les familles qui désirent prendre les vélos pour faire des tours avec des parents sont les bienvenus. Les personnes intéressées sont priées d’appeler au 705 372-2981 et demander le département des activités. Un petit cours est donné sur place avant de faire profiter du beau temps aux personnes âgées. La seule condition pour devenir bénévole dans le programme Vélo sans âge est d’avoir un permis de conduire valide.
Les bénévoles font don de leur temps, de leur énergie et de leur savoir pour une cause qui leur tient à cœur. La reconnaissance de leurs efforts et les témoignages de gratitude qu’ils reçoivent opèrent souvent comme source de motivation. La Semaine de l’action bénévole, qui se déroule du 16 au 22 avril 2023, est le moment parfait pour prendre le temps de leur dire merci !
Pourquoi?
Les bénévoles s’engagent gratuitement à combler divers besoins grâce à leurs aptitudes, à leurs goûts et à leurs disponibilités. Ils agissent comme modèles positifs pour leurs proches et leur collectivité et contribuent à rendre le monde plus agréable en s’impliquant dans divers projets. Chose certaine, la place qu’ils occupent dans la communauté est considérable !
En prenant le temps de leur dire merci et de reconnaître leur travail, vous leur montrez que vous appréciez leurs efforts, vous les encouragez et vous contribuez à assurer la relève. Vous augmentez également leur motivation et renforcez leur sentiment d’appartenance à la communauté ainsi qu’à l’organisation pour laquelle ils se dévouent.
Comment ?
Il y a une multitude de façons de remercier les bénévoles dans votre entourage. Voici quelques idées si vous faites partie d’une association ou d’un organisme :
Offrez un objet (tasse, sac, etc.) ou un vêtement (t-shirt, veste, etc.) arborant vos couleurs;
Organisez un évènement où les bénévoles recevront des cadeaux;
Invitez-les pour une sortie de remerciement (restaurant, spectacle, etc.);
Démontrez leur importance avec des faits concrets;
Écoutez leurs idées et encouragez leurs initiatives.
En voici d’autres pour remercier les bénévoles que vous croisez au quotidien :
Conservez une attitude positive en leur présence (souriez !);
Dites-leur combien vous appréciez leur travail et leur implication;
Remettez-leur une carte ou un mot de gratitude;
Participez aux évènements visant à souligner le rôle des bénévoles.
Pour en savoir plus sur l’action bénévole, visitez le fcabq.org !
Une saison de soccer battra son plein encore cette année grâce au nouveau comité de parents qui ont décidé de prendre les choses en main l’année dernière. L’inscription avait lieu hier, mais l’organisation prend encore des inscriptions via sa page Facebook Hearst Soccer et le groupe est toujours à la recherche de bénévoles de soutien, d’entraineurs et d’aides-entraineurs. Les joueurs seront sur le terrain les mardis et jeudis pendant une période de huit semaines. Cinq catégories sont proposées : U5 (années de naissance 2018 et 2019), U7 (2016-2017), U9 (2014- 2015), U11 (2012-2013) et U13 (2009, 2010 et 2011).
Mylène Coulombe-Gratton, une jeune entrepreneuse qui se fait de plus en plus reconnaitre à Hearst, raconte ce qui fait de sa patrie un endroit de choix pour s’établir. Ayant vécu toute sa jeunesse à Hearst, Mylène est allée étudier au Collège Confédération situé à Thunder Bay. Après avoir diplômé du programme Business Fundamentals, elle est revenue chez elle pour y retrouver son mode de vie. « Notre mode de vie, je le trouve relaxant, tout est à proximité, ou n’a pas besoin de voyager trente minutes dans le trafic pour se rendre quelque part », dit-elle. « Il y a aussi la communauté. La nôtre est super chaleureuse en français et c’est vraiment le fun d’être capable de vivre dans notre langue maternelle. Il ne faut pas oublier le plein air, c’est ma passion. Hearst en mange du plein air, pour toutes les saisons. » Pour pouvoir faire vivre cette passion tout en s’impliquant dans sa communauté, Mylène s’est lancée en affaires avec son entreprise Follow Her North. Une entreprise qui prend son essor dans la municipalité. Selon elle, Hearst regorge d’espaces à explorer tels les plans d’eau comme les rivières, les chutes et les lacs ou bien les terres forestières. « Mon but principal c’est de faire découvrir notre région à la fois aux gens de chez nous et aux gens de l’extérieur », explique-t-elle. « C’est l’une de mes plus grandes implications. » En dehors de ses activités professionnelles, Mylène s’adonne aussi à du bénévolat pour des organisations, notamment celui du Club Voyageur et le tournoi de pêche annuel le Walleye challenge. Pour elle, le bénévolat c’est son moyen de redonner à sa communauté. C’est aussi quelque chose qu’elle aimerait voir progresser auprès de ses pairs. « Ce n’est pas vraiment un manque, mais plutôt une amélioration qui pourrait être apportée ; c’est la participation [communautaire] et les bénévoles », déclare la passionnée de nature. Hormis cette vaste possibilité d’exploration de la nature, pour Mylène, ce qui fait de Hearst la ville quelle est, c’est l’esprit entrepreneurial de la population. « Ce dont je suis vraiment le plus fière, ce sont nos entrepreneurs », affirme-t-elle. « Ce qui est important, c’est que la majorité de nos entreprises sont appartenues par des gens locaux. Notre économie reste en ville et se soutient. On sait que le gaz qu’on achète va aider une famille de la place. » Grâce à cet esprit financier, cela facilite la possibilité d’acheter localement et de diversifier l’économie de la place. « Je crois que j’ai tout ce dont j’ai besoin à Hearst. C’est certain que si on cherche plus de variété, les grands centres sont là, mais le nécessaire pour vivre peut être acheté ici », dit-elle. « On a vraiment des magasins pour tout. » À son avis, afin que Hearst puisse atteindre le prochain échelon visant une communauté parfaite, ce serait de combler la crise du logement, un sujet qui est perçu depuis quelque temps, mais qui pourrait aider la communauté à accueillir de nouvelles familles, selon elle
Le 5 janvier dernier, une vingtaine d’amateurs d’oiseaux se sont réunis pour prendre part au 123e recensement de Noël. Sous la tutelle de Marc Johnson, c’est près de 1000 oiseaux qui ont été aperçus.
La région parcourue par les quelques bénévoles recouvrait une superficie de 24 km carrés, allant de Ryland à Val Côté, et de Jogues jusqu’à la Marina Veilleux. Cette année, le dénombrement a permis d’observer 19 espèces d’oiseaux différentes. Un résultat qui se situe un peu sous la normale, raconte Marc Johnson, ancien employé du ministère des Ressources naturelles, retraité. « Nous avons compté sensiblement le même nombre d’espèces que nous observons ici », dit-il. « Au cours des cinq dernières années, on se situe quelque part entre 20 et 25 espèces différentes. Cette fois-ci, 19 espèces ont été comptées. »
Au total, c’est 999 oiseaux individuels qui ont été recensés dans la région. Il s’agit d’une diminution de 300 unités au cours de la dernière décennie. Un constat inquiétant, selon l’ornithologue amateur.
« Pour notre région, compte tenu des cinq dernières années, ce n’est pas une diminution alarmante, c’est essentiellement la même chose. Mais si on remonte dix ans en arrière, il y a une baisse notable », indique- t-il. « Le tableau d’ensemble démontre une diminution alarmante des activités d’oiseaux pour la forêt boréale, entre l’enquête que nous faisons lors du dénombrement des oiseaux de Noël et l’autre enquête à laquelle je participe, appelée l’enquête sur les oiseaux nicheurs, chaque printemps, on remarque une diminution de la population de 30 %. »
Pour Marc Johnson, l’importance de ce genre d’étude est capitale. Il est d’avis que le recensement d’oiseaux de Noël, un évènement ayant lieu partout en Amérique du Nord et en Amérique du Sud, du 14 décembre au 5 janvier, met en évidence les besoins en matière de conservation des espèces aviaires. « Comme le dit le vieil adage “ vous ne savez pas ce que vous avez jusqu’à ce qu’il soit parti ”, d’où la valeur de procéder à des analyses de données », raconte-t-il. « Si vous pouvez voir une tendance à la baisse d’une certaine population, si vous savez où sont les problèmes, vous pouvez y remédier dans votre effort de conservation. »
Deux principaux facteurs seraient responsables de la diminution d’activité aviaire : le réchauffement climatique entrainant des conséquences sur les oiseaux migrateurs et la perte d’habitat causé par l’expansion humaine. En 2019, les oiseaux de prairies, catégorie dans laquelle on retrouve le petit moineau, avaient subi une baisse de 57 % de sa population.
« Le problème maintenant, c’est qu’il s’agit d’une diminution à si grande échelle sur un grand nombre d’espèces que l’effort ciblé doit s’élargir », se désole M. Johnson.
Durant la récente Semaine nationale de l’immigration francophone, la Fondation a organisé sa 4e édition de son dîner annuel aux sans-abris de Toronto sur le thème Une maison pour tous.
« Une réussite totale ! », selon Amikley Fontaine.
« Cette activité annuelle aspire à démontrer le phénomène de l’itinérance comme crise sociale, et à plaider pour l’accès à des logements sociaux abordables pour les sans-abris. »
« Une situation de crise exacerbée par la pandémie et suivie de l’inflation actuelle. »
2227 repas distribués
Ainsi, le 12 novembre dernier, 2227 repas ont été distribués auprès de personnes démunies, logées dans les centres de refuges, les parcs et les trottoirs de la Ville Reine.
Ceci grâce à la collaboration d’une vingtaine d’organismes partenaires francophones et l’apport de nombreux bénévoles pour l’assemblage des plats, dont une dizaine de chauffeurs qui ont parcouru la ville.
« La Semaine de l’immigration francophone nous a fourni l’occasion de célébrer les bienfaits de l’immigration francophone. Tout en collaborant ensemble pour aider les plus vulnérables de notre société. Mission accomplie ! », réitère Amikley Fontaine.
Cela illustre le mandat social de la Fondation Sylvenie Lindor visant à favoriser la cohésion sociale, l’engagement civique, l’inclusion socio-économique des jeunes Noirs, et la solidarité francophone.
20 partenaires
« Je voudrais féliciter tous les membres de la Fondation Sylvenie Lindor pour leurs services et leur soutien aux jeunes Noirs francophones, en Haïti et à Toronto », a déclaré la présidente de l’organisme charitable Pierspective Entraide Humanitaire (PEH), Helen Pierre, qui était présente à l’évènement.
« Pour la quatrième année consécutive, après de nombreuses heures de préparatifs, la Fondation a encore fourni des repas pour les sans-abris de Toronto. Je voudrais encourager Amikely Fontaine à continuer ses efforts en faveur des moins privilégiés. »
« J’ai collaboré plusieurs fois avec la Fondation Sylvenie Lindor dans le but d’aider autrui », a souligné Dave Champagne, président de la Fondation Champagne, partenaire de la Fondation Sylvenie Lindor.
« La Fondation demeure cohérente dans son plaidoyer social par son dîner annuel en faveur des sans-abris. Justement en raison de sa cohérence, la Fondation réussit à bâtir sa crédibilité. Je suis et resterai partant à continuer de collaborer avec eux. »
Solidarité francophone
Parmi les organismes francophones partenaires de la cause menée par la Fondation Sylvenie Lindor, citons :
François Colas, PDG de l’agence de recrutement Bilingual Squad Inc.
Cédrick Kabakele, conseiller auprès des étudiants internationaux à l’Université de l’Ontario français (UOF).
Fougère Adolphe, président de Communauté Haïtienne Unie de l’Ontario (CHUO) et la Maison D’Haïti du Grand Toronto (LMDHGT).
Éric Ouattara et Ridj Kevin Micourt, ambassadeurs Jeunesse de la Fondation Sylvenie Lindor.
« La Communauté Haïtienne Unie de l’Ontario et la Maison D’Haïti du Grand Toronto sont deux organismes sans but lucratif ayant pour mission de sauvegarder, d’enrichir et de promouvoir toutes les activités de la communauté haïtienne et francophone de l’Ontario », explique Fougère Adolphe.
Photo : courtoisie
« La diversité culturelle existant au sein de la Fondation Sylvenie Lindor et le travail si noble qu’elle réalise auprès de notre collectivité, nous ont incité à apporter notre contribution à la réussite du dîner annuel de la Fondation. »
Prendre part à cette initiative favorise aussi, selon lui, l’intégration et l’épanouissement des francophones de toutes origines culturelles.
Inclusion socio-économique
Outre son engagement social envers les plus vulnérables, la Fondation Sylvenie Lindor veut aussi contribuer à l’inclusion socio-économique des jeunes Noirs et des nouveaux arrivants.
Certains de ses projets visent à sensibiliser au racisme systémique et à favoriser l’accès à l’emploi, notamment en matière d’entrepreneuriat.
En voici un aperçu :
Toronto Youth Action for Change, une initiative lancée en 2019, offrant aux jeunes Noirs la possibilité de développer les compétences en entrepreneuriat et leadership; ayant permis à la Fondation de rencontrer environ 2000 jeunes dans le Grand Toronto via des programmes de sensibilisation incluant une trentaine de jeunes ambassadeurs.
Le programmeJeunesleaders favorisant l’engagement civique et communautaire. Initié durant la pandémie, Jeunes leaders a permis aux jeunes de redonner à la communauté via le volet Secours aux familles francophones.
Le Club de Soccer visant l’intégration et la cohésion sociale; regroupant des athlètes masculins de multiples horizons culturels.
« La présence et l’engagement de la Fondation Sylvenie Lindor auprès de la jeunesse noire torontoise est à féliciter », selon la vice-rectrice, Partenariats, collectivités et relations internationales à l’Université de l’Ontario français, Édith Dumont.
« Les activités proposées permettent un véritable dialogue interculturel sur des réalités lourdes de conséquences tels le racisme, les biais systémiques et l’exclusion. »
« Plusieurs autres initiatives permettent aussi aux jeunes de renforcer leur sens de l’entrepreneuriat et leur volonté de s’intégrer et de contribuer à l’épanouissement de leur communauté. »
Collaboration avec le Collège Boréal
La Fondation envisage – parmi ses futurs projets – une nouvelle initiative de collaboration avec le Collège Boréal à Toronto : Nouveau Départ volet Entrepreneuriat 2023.
« Ce projet vise à accompagner les jeunes Noirs par l’entremise de programmes d’entrepreneuriat, d’employabilité, et d’accompagnement au cours de leur processus d’intégration socio-économique », mentionne Amikley Fontaine.
« Ce serait avec plaisir de collaborer avec la Fondation Sylvenie Lindor », cite le directeur du campus du Collège Boréal de Toronto, Gilles Marchildon.
« L’une des choses qu’on apprécie chez Amikley, parmi tant d’autres qualités, c’est sa persévérance infatigable. Ce gars-là ne cesse de bûcher pour faire avancer les choses. »
« Le Collège Boréal a toujours apprécié l’excellente collaboration avec la Fondation Sylvenie Lindor et c’est largement grâce à son directeur général, Amikley Fontaine. »
« Un exemple de collaboration se situe au niveau des sessions d’informations pour informer des étudiants potentiels sur nos programmes. »
« La Fondation nous permet d’établir un pont avec une population cible qui ne considère pas toujours les études comme une option accessible ni souhaitable. Pourtant, l’éducation peut changer le monde ! »
Célébrer ce qui nous unit
La vision de la Fondation Sylvenie Lindor Implanter le bénévolat au cœur de notre collectivité « célèbre ce qui nous unit », rappelle Amikley Fontaine, lauréat du Prix de la Francophonie de l’Ontario 2022, décerné par le ministère des Affaires francophones.
Parmi les activités rassembleuses réalisées par la Fondation cette année, soulignons :
La Fondation promet un agenda 2023 bien rempli, dont :
Une Soirée Poésie en février dans le cadre du Mois de l’histoire des Noirs.
Le projet Nouveau Départ voletEntrepreneuriat avec le Collège Boréal.
Le projet Bien-être des jeunes Noirsvolet Santé Mentalerelatif aux effets de la pandémie avec la Croix-Rouge canadienne,
Des administrateurs qui reflètent la diversité
Le conseil d’administration de la Fondation Sylvenie Lindor comprend neuf personnes dévouées à la cause sociale de l’organisation, synonyme de diversité, inclusion, égalité.
Photo : courtoisie
« L’opportunité de travailler dans autant de communautés, d’entendre leurs histoires, a été extrêmement gratifiante », témoigne le vice-président de la FSL, Christopher Sullivan.
« J’attends avec impatience la prochaine décennie de croissance et l’expansion de nos programmes et de notre équipe. »